Les coordonnées
D’HUYVETTER Charles
« Tourette »
47230 Feugarolles
06.10.01.70.68 ou 06.12.29.14.14
albrettgv@orange.fr
Ce que nous propose Réseau ferré de France (RFF), maître d’ouvrage :
Ce que nous constatons, ce que nous contestons :
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la création de lignes nouvelles, chantiers pharaoniques au coût exorbitant
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la signature d’un protocole Etat-RFF-Région, sans information ni concertation du public
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l’utilité du projet, la ligne existante Bordeaux-Toulouse n’étant pas menacée de saturation
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un « développement durable », qui méprise les enjeux humains et environnementaux
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l’objet du projet (relier les grandes métropoles européennes) aux retombées économiques régionales très hypothétiques
-
un processus de concertation sans écoute, ni transparence, ni dialogue avec les habitants
En résumé,
un projet inutile, onéreux, destructeur et imposé en force, auquel nous nous opposons.
Ce projet LGV devient insupportable, de près comme de loin, il nous pourrit la vie, nous pourrit nos finances publiques , va pourrir notre patrimoine et environnement! Tout ça uniquement pour satisfaire nos élus, et oui, ils ont besoin de grands projets pour se faire réélire et ça ne sert qu’à ça!C’est pour cela que je vous propose de se réunir pour ceux qui pourront mardi 24 décembre à 10H à Feugarolles(mairie) ou 10H15 sur le parking du Chat d’Oc au Passage. Nous irons souhaiter un joyeux Noël à un de ces élus de l’Agenais.
TGV en Albret
Validation des projets LGV
28 septembre 2015 – Plusieurs articles
Chers Amis,
Samedi 26 septembre le gouvernement a validé le projet de LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax malgré l’avis défavorable de la Commission d’Enquête Publique, et de la Cour des Comptes entre autres.
Outre les recours en justice que nous mènerons auprès du Conseil d’Etat, des actions coup de poing vont être organisées très prochainement. Je vous demande de rester mobilisés.
A très bientôt et bien cordialement,
Charles D’Huyvetter
Le dossier Lgv sur : Aqui :
Commentaire :
Roland | 28/09/2015
Il est en effet très douteux que ce caprice, puisqu’il faut bien appeler les choses par leurs noms, débouche sur une réalisation. Caprice de vieux politiques trop longtemps restés au pouvoir, murés dans une posture ou leur idée prime tout. Une certaine idée du développement lancée il y a plus de 30 ans au début des LGV. Mais depuis des réalisations se sont succédé. Elles ont permis la vérification de la réalité des postulats avancés. Hélas toutes les études universitaires, touts les rapports institutionnels démontrent l’erreur des postulats de départ. La LGV ne participe pas au développement, elle ne permet pas de désenclavement au sens où les politiques l’entendent. Mais le rêve persiste, avec un coût financier qui devient de plus en plus lourd, pour des rentabilités jamais obtenues. Justement, pour le financement de ce GPI2 c’est le silence absolu. Rappelons que l’Europe ne participera pas à la construction, et que ce projet, largement au dessus de 10 milliards d’€ à terminaison, serait financé à parité entre l’état et les deux collectivités régionales. Notons à ce sujet la schizophrénie qui pourrait s’emparer des élus au conseil général de Poitou Charente qui ont refuser de financer leur LGV Tours Bordeaux alors qu’ils voteraient le Sud de Bordeaux. En effet, ils avaient rappelé à l’époque que les LGV ne sont pas une compétence des collectivités locales mais de l’état.
Le gouvernement valide les lignes à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax
Le Monde Le gouvernement a validé la réalisation des lignes à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, dans le cadre du grand projet … LGV : les liaisons Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax verront bien le jour – France TVinfo Le gouvernement valide les projets de ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax – Francetvinfo Lignes à grande vitesse: le gouvernement valide Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax – FranceBleu |
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LGV Bordeaux-Dax et Bordeaux-Toulouse : le gouvernement donne son feu vert
Sud Ouest Le gouvernement va donner son feu vert pour la poursuite du projet Grand … pour leslignes à grande vitesse Bordeaux-Dax et Bordeaux-Toulouse. |
LGV : les liaisons Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax verront bien le jour
Le Figaro
«J’ai averti aujourd’hui Alain Rousset (président du conseil régional d’Aquitaine, ndlr), Alain Juppé (maire de Bordeaux, ndlr) et Martin Malvy …
LGV: le gouvernement valide Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax
Le Parisien
« J’ai averti aujourd’hui Alain Rousset, Alain Juppé et Martin Malvy de la … félicité de cette décision : » La LGV ira à Toulouse et à Dax vers l’Espagne.
TGV en Albret
Clôture de l’enquête d’utilité publique: premiers retours encourageants
23 juillet 2015 – La Dépêche et Le Sud Ouest
Lire l’article dans la Dépêche : cliquez : Clôture de l’enquête d’utilité publique
Lire l’article dans le Sud Ouest : cliquez: Plan d’occupation des sols : l’enquête est finie
Terres agricoles : premiers retours encourageants de l’enquête publique sur le projet TAG (Agglo d’Agen)
Notre association Filière Paysanne, en lien avec le Collectif de défenses des terres fertiles 47, se félicite du déroulement serein de l’enquête publique qui vient de se terminer sur le projet de Techopole Agen-Garonne. Pour mémoire, ce projet de zone industriel menace de détruire 220 ha de terres hautement fertiles (hors infrastructures) sur la commune de Sainte-Colombe (47).
Avec le collectif, nous avons reçu de nombreuses contributions pour que nous les remettions au Commissaire enquêteur. Nous en avons comptabilisé presque 200, en plus des 200 signataires de la pétitions qui a circulé dans différents lieux.
Parmi les principaux contributeurs se trouvent des syndicats agricoles comme la Confédération Paysanne 47, la FDSEA 47 et les Jeunes Agriculteurs National. On compte aussi des organisations et fédérations diverses comme les Amis de la Terre, Bio Consom’acteurs Provence, Filière Paysanne, la Mirande, la SEPANLOG, la SEPANSO, Terre de Liens, TGV-BA, Au fil des Séounes….
Lire la suite : Clôture de l’enquête d’utilité publique: premiers retours encourageants
Le concessionnaire de la LGV Paris-Barcelone dépose le bilan
20 juillet 2015 – La Tribune
NdlR -TGV Albret:……….Selon la presse, les difficultés s’expliquent par la faiblesse du trafic……
Lancée en 2010, la LGV Paris-Barcelone a coûté 1,1 milliards d’euros en tout. (Crédits : © Vincent Kessler / Reuters)
Filiale du français Eiffage et du groupe espagnol ACS, TP Ferro n’est pas parvenu à négocier une restructuration de sa dette malgré le délai de 4 mois accordé par le tribunal pour les échéances dues au 31 mars dernier.
Elle explique ne pas avoir eu d’autre choix, après l’échec des négociations entamées avec ses créanciers ainsi que les Etats français et espagnol pour restructurer sa dette, qui arrivait à échéance le 31 mars.
Elle avait à l’époque obtenu du tribunal un délai de quatre mois supplémentaire pour tenter de trouver une solution.
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LGV Limoges Poitiers : nouveau rebondissement dans la procédure
17 juillet 2015 – FR3 Limousin
Après le dépôt des recours demandant l’annulation de la déclaration d’utilité publique, le Conseil d’Etat avait demandé une réponse du gouvernement et de la SNCF. Selon la Coordination des Riverains et Impactés touchés par le projet de LGV Limoges-Poitiers, aucune réponse ne serait arrivée.
© SEBASTIEN BOZON / AFP
C’est donc le nouveau rebondissement de l’été 2015 dans le feuilleton de la LGV Limoges-Poitiers.
La déclaration d’utilité publique (DUP) de la ligne à grande vitesse ferroviaire a été rendue en janvier dernier. À la suite de recours déposés par la CRI* et par de nombreuses associations et collectivités territoriales pour demander l’annulation de cette DUP, le 13 juillet (en pratique le 15 en raison des fêtes) était théoriquement le dernier jour permettant au gouvernement de répondre officiellement.
En effet, le 12 juin 2015, le Conseil d’Etat a mis en demeure le secrétariat général du gouvernement et SNCF Réseau de déposer un mémoire en réponse à ce recours. Il leur avait laissé un mois pour cela. Selon la CRI, malgré cette mise en demeure, aucun mémoire n’aurait été produit par la partie défenderesse, c’est-à-dire par le gouvernement et SNCF Réseau (ancien RFF)
Il faut savoir qu’une réponse n’était toutefois pas obligatoire en raison d’une jurisprudence de 1983 qui laisse la possibilité à l’administration de déposer un mémoire jusqu’à la veille du jugement : est-ce le souhait du gouvernement et de SNCF Réseau afin de ne pas dévoiler leur stratégie de défense ou faut-il voir cette absence de réponse comme un défaut d’engagement dans ce projet ?
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LGV au sud de Bordeaux: les opposants au projet interpellent François Hollande
15 juillet 2015 – TV5 Monde
Un collectif d’opposants au prolongement de la ligne à grande vitesse (LGV) au sud de Bordeaux, vers Toulouse et l’Espagne, a rendu publique mercredi une lettre ouverte adressée fin juin au président François Hollande pour souligner qu' »une écrasante majorité » des populations concernées juge le projet « contraire à l’intérêt général ».
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Le Département confirme le gel du financement LGV Tours-Bordeaux
13 juillet 215 – Sud Ouest du 11 juillet
Les élus de la majorité n’ont pas changé d’attitude. L’opposition n’a pas participé au vote.
Hier matin, en commission permanente, la majorité du Conseil départemental a décidé de ne pas changer d’attitude et de motivation. Il a confirmé le gel de son financement de la LGV Tours-Bordeaux. Reconnaissant l’intérêt majeur de cette infrastructure, plaçant Agen à trois heures de Paris en 2017, il s’était engagé à participer à hauteur de 33,4 M€.
Le Département a honoré son engagement jusqu’en 2012, période où les dotations de l’État ont baissé et devait faire face à de nouvelles dépenses obligatoires liées à des transferts. Précisons que sur 58 collectivités, seules 34 ont accepté de signer une convention et donc de financer le projet de la LGV.
Pour et contre entendus
Les élus du groupe de l’opposition « L’Avenir ensemble » ont refusé de prendre part au vote sur le gel du versement de la contribution financière du Département à la LGV Tours-Bordeaux. Ils ont estimé « qu’au regard des enjeux (23 M€ de contribution gelés) et de l’opacité du dossier (aucune information nouvelle sur le financement du projet), cette décision devait être votée en session plénière avec des explications des services de l’État ».
Hier matin, avant la commission permanente, Claude Semin, président de Coordination 47, qui milite pour la modernisation des voies existantes en Lot-et-Garonne, a présenté et défendu son projet auprès des élus départementaux. Dans le même esprit, Jean-Louis Chauzy, président de l’association Eurosud Transport, sera auditionné par la commission permanente, en septembre. Il défend la réalisation de la nouvelle ligne Bordeaux-Toulouse. « Il est essentiel que, sur des sujets aussi importants, l’assemblée départementale puisse entendre les points de vue pluriels pour éclairer ses réflexions et décisions », explique la majorité.
Plus d’articles…
- Présentation au Conseil Départemental
- LGV Tours-Bordeaux : le crépuscule d’un modèle ?
- LE TRAFIC PROGRESSE DANS LES AIRS, STAGNE SUR LA ROUTE ET DIMINUE SUR LE RAIL ET LA MER EN 2014
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Article à lire
TGV en Albret
L’épreuve de vérité de Gilles Savary
28 janvier 2015 – Sud Ouest ( extrait de l’article du 26 janvier 2015)
……….Gilles Savary qui se définit comme un élu investi d’un mandat unique, a rappelé qu’il avait été le rapporteur de trois lois, dont la première, relative au projet ferroviaire et où il n’apas hésité à dire, « Oui, j’ai changé d’avis sur la LGV. Arrêtons la gabegie financière, économique et écologique ! »………
« Une démarche citoyenne »
28 janvier 2015 – Sud Ouest ( extrait)
……..Une démarche citoyenne, Charles d’Huyvetter la revendique. Celui qui est connu pour avoir pris la tête des anti-LGV du département a décidé, lui aussi, de se lancer aux départementales et donc de se lancer dans sa première élection, sur le canton de Lavardac. « Bien sûr, c’est mon combat contre la ligne à grande vitesse qui me conduit à cette candidature, car je pense qu’il est important d’avoir des élus qui s’opposent au projet et ce, pas seulement pour amuser la galerie pendant la campagne, mais également dans l’hémicycle départemental. » Pour autant, pas question pour lui de cantonner la campagne à la LGV, ni d’entraîner TGV en Albret, association qu’il préside, dans l’aventure. D’ailleurs, jusqu’à fin mars, il se met en retrait de son association. Son objectif : proposer une alternative. « Il faut avoir le courage de changer les choses et de mettre un terme au gaspillage de l’argent public. Si les gens sont satisfaits des politiques menées actuellement par les partis traditionnels, alors ils ne doivent pas voter pour moi. » Charles d’Huyvetter et Christian Delbrel n’entendent succomber à aucune sirène… politique. « Je préfère perdre la tête haute que gagner la tête basse », …………………………………
» Pas de djihad anti-LGV «
26 janvier 2015- La Nouvelle République
Lire l’article :
> Cliquez ici : Lors d’une conférence de presse, le 18 janvier, le président du conseil régional d’Aquitaine Alain Rousset avait parlé d’une « fatwa sur la LGV ». Un terme qui a choqué.
La LGV Sud Atlantique fait monter la colère dans les campagnes
26 janvier 2015 – Médiapart PAR JEAN-CHRISTOPHE MATHIAS
> À l’occasion du lancement de l’enquête publique relative à la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (SEA), le journal Sud-Ouest a publié, le 14 octobre 2014, un sondage posant la question en ces termes : « Etes-vous favorable à la LGV Bordeaux-Dax ? Oui, il est temps que les Landes soient mieux desservies par la SNCF / Non, je suis satisfait(e) par la desserte SNCF actuelle. » Histoire de resserrer quelques boulons, rappelons que les lignes à grande vitesse n’ont jamais été faites pour mieux desservir les territoires ruraux, mais pour relier les grandes villes entre elles de manière rectiligne, sans préoccupation pour les dessertes en zones de campagne. Assimiler, comme le présupposent les questions de ce sondage, l’amélioration de la desserte SNCF actuelle dans les Landes et la construction de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Dax constitue donc un parfait contresens. L’alternative aurait dû être posée de la manière suivante : êtes-vous favorable à la construction de la LGV Bordeaux-Dax ? Oui, je suis satisfait de la desserte SNCF actuelle dans les zones rurales, et je suis donc favorable à l’utilisation de l’argent public pour aider les grandes villes à se rapprocher les unes des autres au détriment des territoires agricoles et naturels / Non, il est temps que les Landes soient mieux desservies par la SNCF et je préfère donc que les deniers publics soient judicieusement utilisés pour entretenir et rénover les lignes de TER (par exemple la ligne Morcenx / Mont-de-Marsan), afin d’éviter des accidents tels que celui de Brétigny-sur-Orge, tout en préservant les territoires ruraux.
Lire la suite : La LGV Sud Atlantique fait monter la colère dans les campagnes
Information
25 janvier 2015
Bonjour,
Vous avez appris que j’avais pris la décision de partir dans la bataille des élections départementales du 22 et 29 mars sur le canton de Lavardac. C’est une décision personnelle dont j’assumerai l’entière responsabilité. Afin d’éviter toute polémique et que l’on ne puisse pas me reprocher de me servir de notre asso à des fins électorales, je vous annonce mon retrait de « Très Grande Vigilance en Albret » à compter de ce jour et ce jusqu’au 1er avril 2015. Notre vice-présidente, Catherine Aime, et notre comité de réflexion (conseil d’administration) prendront le relais durant cette période. Je me ferai un point d’honneur à adopter une conduite irréprochable dans l’intérêt de notre lutte.
Je vous souhaite à tous, beaucoup de solidarité, ce sera notre force, très cordialement.
Charles D’Huyvetter
………. PETITION ………
Carte officielle
« Après des mois de laborieuse concertation destinée à donner une illusion de démocratie participative dans ce qui restera une scandaleuse tentative de passage en force au mépris des populations, RFF a enfin pu dévoiler les tracés retenus par le Comité de Pilotage du GPSO lors de sa réunion du 11 janvier 2010. Détail amusant mais très significatif : Les fuseaux censés être décidés le 11 avaient été rendus publics dès le 8. Ainsi, avec RFF tout devient possible, y compris arriver 3 jours avant d’être parti. Si ce n’est pas de la grande vitesse, on se demande ce que c’est… En tout cas on est bien loin des trains qui arrivent en retard. Mais à part ça, promis, juré, c’était une vraie concertation et rien n’était décidé d’avance. »
La SEPANSO
Cherchez l’erreur… Mais où est donc la ligne droite que RFF prétend favoriser dans son implacable logique du gain de temps ?
Téléchargez le fichier haute résolution au format PDF (6Mo)
Cartes avec tracés envisagés. Ceux ne sont que des projets, RIEN n’est joué , le COMBAT continue !!!
Vous pouvez télécharger les cartes détaillées du Lot & Garonne ci-dessous. Attention, certains cahiers de cartes peuvent être longs à charger.
Pour légende de la carte avec les hypothèses tracés : cliquez ici
Carte avec tracés de : Fargues-sur-Ourbise, Pinderes, Pompogne, Saint-Martin-Curton, Saumejan, Houeilles : cliquez ici
Carte avec tracé de : Ambrus : cliquez ici
Carte avec tracés de : Bruch, Buzet-sur-Baïse, Feugarolles, Montgaillard, Montesquieu, Pompiey, Vianne, Xaintrailles : cliquez ici
Carte avec tracés de : Boé, Colayrac-Saint-Cirq, Layrac, Le Passage: cliquez ici
Carte avec tracés de : Brax, estillac, Moirax, Roquefort, Sainte-Colombe-en-Bruilhois, Sérignac-sur-Garonne : cliquez ici
Carte avec tracés de : Caudecoste, Fals, Saint-Nicolas-de-La-Balerme, Sauveterre-Saint-Denis: cliquez ici
Lettre ouverte à monsieur Frédéric Cuvillier, ministre des Transports – Par Pierre RECARTE / Vice-président du Cade
6 décembre 2013 – Le Journal du Pays Basque
Monsieur le ministre,
Le 24 octobre dernier, la presse nous informe de votre décision de poursuivre la procédure vers l’enquête publique en vue de la réalisation des LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, puis secondairement vers l’Espagne. Ces nouvelles lignes devraient être mises en service respectivement en 2024 et “aux horizons” 2027 et 2032 pour le prolongement vers le sud.Ces annonces sont en contradiction avec les déclarations du Premier ministre qui précisait, en juillet, que seule la branche Bordeaux-Toulouse serait construite avant 2030, retenant ainsi le scénario le plus favorable de la commission Mobilité 21 reposant sur une augmentation des ressources d’environ 400 M d’euros par an de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF).Scénario retenu, alors que vous n’avez pas le premier euro pour abonder les dotations de l’AFITF et que l’écotaxe censée l’alimenter est “suspendue”…
Malgré les conclusions des assises du ferroviaire, malgré les conclusions des multiples rapports que vous avez commandés (rapports Duron, Auxiette et Bianco), recommandant unanimement l’abandon de la construction de nouvelles LGV pour privilégier la modernisation du réseau existant, malgré les nombreuses mises en garde de la Cour des comptes et du Conseil d’analyse économique sur la rentabilité des LGV, vous avez cédé au lobbysme du BTP, aux arguments démagogiques et aux menaces de quelques grands élus du Sud-ouest.
Voir ou revoir « Pièces à conviction » sur le TGV, l’émission de FR3 du 4 décembre
5 décembre 2013 – FRance3 Excellente émission sur le problème brûlant de la LGV.
Pour voir ou revoir l’émission sur internet : CLIQUEZ ICI
Les ténors ont décliné l’invitation : absents les PDG de RFF et de la SNCF, le ministre des transports…
L’équipe de l’émission a enquêté sur le TGV Sud-Ouest pour s’interroger sur le bien-fondé de la construction des la lignes reliant Bordeaux à Toulouse et Bordeaux à l’Espagne.La conclusion : le TGV c’est le joujou de nos politiques, ils le veulent, peu importe le prix.Il va falloir hurler, menacer, tempêter, manifester.Tenez vous prêts, mobilisez autour de vous.Plus que jamais le combat continue.
Le TGV du Sud Ouest passé au crible
5 décembre 2013 – Sud Ouest
L’enquête concernera aussi le chantier de la LGV Bordeaux-Tours (ici la pose des premiers rails en mai 2013) et son financement. (Céline Levain). L’émission « Pièces à conviction », qui paraît un mercredi par mois sur France 3 vers 23 heures, s’intéresse ce soir mercredi 4 décembre au TGV Sud Ouest. L’enquête de Benoît Bertrand-Cadi, au titre évocateur,« Très cher TGV » s’intéresse à cette merveille technologique et fierté française…Enfin, surtout à ses ratés : des dizaines de milliards de déficits, des retards fréquents, des billets trop chers. Cette enquête mettra en avant le chantier de la LGVBordeaux-Tours et son financement, mais aussi lescontestations comme au Pays Basque où les opposants ne désarment pas et continuent à manifester et à s’opposer.Une enquête de 52′ réalisée par Benoît Bertrand-Cadi, produite par Ligne de Mire avec la participation de France 3
LGV: Créateur d’emplois?…. voici la réalité!
2 decembre 2013 – Le Moniteur
Lire l’article: cliquez: La CGT dénonce du dumping social chez un sous-traitant d’Eiffage sur le chantier de la LGV
Revue de presse
«Même s’ils décident de faire la LGV, on se battra jusqu’au bout»
Au départ, l’association a été créée dans le but d’informer la population sur la création de la ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Hendaye et Bordeaux et Toulouse. «Au fil du temps, on s’est forgé une conviction, car ce projet était incohérent et rempli de mensonges», assure Jacques Dousset, membre de l’association et porte-parole de Coordination 47, le collectif qui rassemble les opposants à la LGV dans le département. «La première enquête publique défavorable était une sorte de victoire pour nous. Mais d’autres enquêtes ont été menées, qui sont des tromperies. Aujourd’hui, il y en a une qui est en cours à propos des nouvelles lignes entre Toulouse et Bordeaux». Il y a quelques semaines, cette même Coordination 47 a déposé des recours auprès des tribunaux administratifs de Bordeaux et Toulouse contre l’avis des enquêtes publiques. «Les enquêteurs doivent donner leur avis sur les nouvelles lignes en juin», d’après le porte-parole. «Si cet avis est favorable, nous déposerons un recours auprès du Conseil d’État.»
Démontrer l’inutilité du projet
Car aujourd’hui, les principaux combats de l’association sont d’ordre juridiques. «La démonstration, nous l’avons faite» avoue le président de TGV en Albret. «2016 sera portée sur les dossiers. Les associations doivent s’unir pour être plus fortes. Les recours, on doit les mener tous ensemble». L’objectif de TGV en Albret comme des autres associations est resté le même : monter l’inutilité de la LGV. «Ce projet est très bien pour les deux métropoles. Mais elle dessert les villes moyennes comme Agen. Plutôt que de mettre des milliards dans la construction d’une nouvelle ligne, nous voulons qu’ils modernisent déjà celle existante. 95 % des voyageurs ferroviaires utilisent des TER et des Intercités. Il faut que les élus, qui sont majoritairement contre, montent au créneau et rappeler qu’il est de leur devoir d’abandonner le projet. Car nous, on se battra jusqu’au bout !»
LGV : le dialogue maintenu
À l’occasion du forum des artisans hier, à Feugarolles, les anti-LGV ont apostrophé le président du conseil général. Échanges de points de vue courtois mais fermes…Hier, en marge du forum des artisans installé dans et autour de la salle polyvalente de Feugarolles, les opposants à la LGV étaient là pour interpeller le président du conseil général, Pierre Camani. En fin de visite du forum des éco-artisans, les représentants opposants à la LGV, Charles Dhuyveter, Catherine Aime, Jacques Dousset, porte-parole pour la coordination 47 des 12 associations anti -LGV ont en effet demandé des éclaircissements quant à la non-réponse au courrier de début juillet qu’ils lui avaient adressé. Les opposants ont souligné que le temps gagné par la mise en place de la LGV est un facteur très discutable vu les distances d’accélération et celles de décélération nécessaires pour atteindre un palier à 320 km/h, finalement très court et proposent à la place une amélioration de la ligne existante pour circuler à une vitesse à 200/220 km/h, plus logique et bien moins coûteuse à l’exploitation. Pierre Camani a fait remarquer que «Bien des régions sont équipées depuis longtemps, nous ne voudrions pas que le Lot-et-Garonne passe à côté de ce progrès. Aujourd’hui, le transport compte énormément dans le développement d’une région». Argument rejeté par Catherine Aime qui s’insurge sur la dimension du projet : «Nous ne comprenons pas pourquoi vous êtes tant décidés à développer des projets aussi pharaoniques.» Et Pierre Camani de préciser : «Vous admettrez que j’ai toujours respecté vos demandes de dialogue, ce projet est retenu pour les 10 à 15 ans à venir…».
Moins vite, moins cher est-ce possible ?
Jean-François Garrabos, nouveau maire de la commune a affirmé qu’il n’était pas question «que je soutienne un tel projet en l’état.». Jacques Dousset a ajouté pour sa part que «le projet présenté coûte environ 6 milliards de plus que notre proposition, pour un résultat à peu près similaire. RFF a toujours su trouver des solutions techniques, il faut peut-être leur faire confiance. Il ne faudrait pas qu’un jour ce projet devienne celui des casseurs de l’Albret. Bordeaux comme Toulouse connaissent un développement extraordinaire ; nous en déduisons que la LGV n’est pas le facteur incontournable du développement.».
Les parties se sont quittées sur la promesse d’une réponse écrite du président du conseil général.
Nérac. LGV : faute de votation, il y aura une manifestation
La préfecture a le dernier mot
à la place, les adhérents de l’association se sont réunis à quelques mètres des bureaux de vote autour de pancartes annonçant leur scrutin, barré d’une grande inscription «Interdite par le préfet». Même scénario à Xaintrailles et Montesquieu, où des votations devaient avoir lieu.
Malgré l’accord verbal donné par les maires, pour que l’événement ait lieu sur l’espace public, les services de l’état ont jugé que cela pouvait troubler le bon déroulé des élections européennes. Jean-François Garrabos, maire de Feugarolles, attendait un arrêté clair de la part de la préfecture pour prendre sa décision. Il n’en a pas reçu, mais n’a pas eu d’autres choix que de se soumettre aux injonctions de ses supérieurs hiérarchiques : «On en est resté aux écrits comminatoires, qui ont un ton obligatoire. Le sous-préfet m’a demandé de retirer verbalement ce que j’avais accordé verbalement», explique-t-il. Une obligation doublée de menace de sanctions.
C’est cet argument qui a découragé l’association. «Si on a renoncé, ce n’est pas par crainte du préfet à notre égard, mais par respect pour les maires qui subissent de grosses pressions. Ce n’est pas ça la démocratie», proteste la vice-présidente du mouvement, Catherine Aime.
Électeurs mobilisés
Les citoyens hors du débat ne comprenaient pas non plus, hier matin, l’intérêt de l’interdiction. Venus voter pour les européennes, ils comptaient bien glisser aussi un bulletin dans l’urne de TGV en Albret Les uns après les autres, ils ont accosté les militants avec une même question : «C’est ici qu’on vote ?». Une adhérente confie : «à Xaintrailles aussi les gens sont venus avec leur bulletin LGV. Quand on leur a dit qu’on ne faisait plus la votation, ils ont dit que, puisque c’était comme ça, ils n’iraient pas voter pour les européennes non plus.» «De toute façon, c’est un vote qui ne compte pas, ils auraient pu le laisser faire», renchérit un électeur venu pour rien.
Rendez-vous à la préfecture
Avec cette votation avortée, l’association perd 1 600 €, mais ne s’avoue pas vaincue. Mardi, à 11 heures, les adhérents et sympathisants se retrouveront devant la préfecture à Agen, histoire d’exprimer leur ras-le-bol aux autorités : «Par la force des choses on va être obligés de sortir de notre courtoisie face à l’injustice et l’incompréhension que l’on ressent, résume Catherine Aime. Là, il y a une grosse colère, c’est juste du despotisme.»
Les revendications de l’association devraient donc parvenir clairement aux oreilles des élus et de l’administration, ainsi qu’à celle des représentants de Réseau Ferré de France. Justement ils seront de passage à Feugarolles mercredi après-midi, pour présenter le tracé de la LGV en 3D aux maires des sept communes impactées sur le canton de Lavardac. Une réunion qui doit se tenir en comité restreint… Pour l’instant.
L’association Très Grande Vigilance en Albret souhaite organiser un vote pour ou contre le projet actuel de LGV dimanche prochain. La préfecture refuse en raison des élections européennes. D’ici quelques jours, les foyers feugarollais, montesquinois et xaintraillais recevront, dans leurs boîtes aux lettres, les tracts de Très Grande Vigilance en Albret ainsi que des bulletins «pour» et «contre». Un kit pour la votation citoyenne organisée le dimanche 25 mai par l’association qui compte profiter des déplacements des votants aux élections européennes. Avec les maires des communes concernées, les adhérents se sont organisés pour s’installer hors des bureaux de vote, sans que personne ne soit gêné. Tout semblait aller pour le mieux, mais c’était sans compter le rappel à l’ordre de la préfecture.
Votation illégale
Dès jeudi, Frédéric Bovet, le sous-préfet de Marmande en charge de Nérac, a contacté les maires Michèle Autipout à Xaintrailles, Alain Polo à Montesquieu et Jean-François Garrabos à Feugarolles pour leur expliquer que la votation ne pourra pas avoir lieu ce jour-là. La raison : rien ne doit troubler ou influencer le déroulement du scrutin. C’est ce que prévoit la loi et des sanctions sont envisageables. Le vote européen pourrait même être invalidé. Pour TGV en Albret, c’est la douche froide, une véritable atteinte à la démocratie et surtout, la grande incompréhension. Les services de l’État considèrent que «la thématique de la votation présente un lien avec l’enjeu électoral», l’association ne voit pas en quoi. «Bordeaux-Toulouse n’est pas une ligne européenne, s’insurge Patrick Vaccari, un membre bien au fait des spécificités techniques. Il y a quelques mois la commission européenne a confirmé les 9 corridors du réseau transeuropéen et la ligne n’en fait pas partie». Il ajoute : «Une votation citoyenne n’est pas un référendum, elle n’a aucune valeur juridique». Du côté des maires, l’embarras est palpable : en tant qu’élus représentants de l’état, ils se voient mal désobéir si l’interdiction se confirme. «Je ne peux que me plier aux injonctions de mon supérieur hiérarchique, explique Jean-François Garrabos. Mais je ne peux m’empêcher de penser que le message que voulait faire passer l’association est déjà passé», constate-t-il devant la réaction de la préfecture. «Cela consiste à abattre un moustique avec un bazooka. Ou alors, c’est que le moustique est plus gros que nous le pensions». Charles D’Huyvetter, président de l’association, ne compte cependant pas reculer devant les risques de sanctions. Les 1 650 bulletins seront bien envoyés et il prépare un plan B pour organiser la votation.
Feugarolles. Un bilan qui renforce les déterminations
AG de Très Grande Vigilance en Albret
Vidéos ( visible en cliquant les textes en bleu dans l’article) – Armés de banderoles et de pancartes, près de 80 militants anti-LGV se sont rassemblés, ce jeudi matin, devant la gare d’Agen. Ils dénoncent notamment le gaspillage de l’argent public <http://www.tgv-albret.fr/images/stories/LGV_agen_les-anti-lgv-ont-prepare-un-comite-d-accueil-a-l-occasion-de_1594490_800x400.jpg> . Les anti-LGV ont préparé un comité d’accueil à l’occasion de l’inauguration de la gare. <http://www.tgv-albret.fr/images/stories/LGV_agen_une-discussion-plutot-houleuse-s-est-engagee-entre-les_1595123_800x400.jpg> Une discussion plutôt houleuse s’est engagée entre les anti-LGV et Jean Dionis du Séjour
Avant même que <http://www.sudouest.fr/2014/01/29/agen-la-gare-sera-officiellement-inauguree-jeudi-1445190-3603.php> l’inauguration officielle de la nouvelle gare d’Agen n’ait lieu, près de 80 opposants à la LGV se sont réunis face à la gare, contenus sur le boulevard Sylvain Dumon, ce matin. Gardés par des barrières et par des CRS les empêchant d’accéder directement au cœur de la manifestation, ces militants portaient plusieurs revendications.Juste avant la visite du nouveau pôle multimodal, Lucette Lousteau, députée d’Agen-Nérac puis le maire d’Agen s’est avancé jusqu’à eux pour entamer le dialogue mais, comme on peut le constater sur cette vidéo, la discussion a été difficile, de part et d’autre de la barrière. Dénonçant le gaspillage de l’argent public, Charles d’Huyvetter, président de l’association <http://www.tgv-albret.fr/> TGV (Très Grande Vigilance) en Albret a notamment expliqué que « si la LGV se fait, il n’y aura plus de circulation, ici, dans cette gare alors que le projet a coûté 14 millions d’euros ».Pour lui, pas de doute, « la plupart des Aquitains ne veulent pas de la LGV » etCharles d’Huyvetter de demander l’organisation « d’un référendum »sur cette question. Par ailleurs, une grève d’une heure était également organisée par les cheminots de la CGT à l’occasion de cette inauguration. Le syndicat dénonçait notamment « la suppression d’un poste de guichetier alors qu’avec le pôle multimodal, l’activité va aller crescendo »
Sur le même sujet ( autre article dans Sud Ouest 31 janvier 2014 ) : cliquez <http://www.sudouest.fr/2014/01/31/la-gare-passe-par-tous-les-modes-1446916-3603.php> ici , et dans La Dépêche ( Le Petit Bleu) du 31 janvier 2014 : cliquez <http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/31/1807397-tensions-sur-la-ligne-a-grande-vitesse.html> ici
Agen. Avec deux gares, «on s’égare»
1 février 2014 – La Dépêche
L’actuelle gare d’Agen aurait pu accueillir les rames LGV. Le choix de la rive gauche a été préféré. / Photo Jean-Michel Mazet <http://static.ladepeche.fr/content/media/image/350/2014/01/30/201401300969-full.jpg> L’actuelle gare d’Agen aurait pu accueillir les rames LGV. Le choix de la rive gauche a été préféré.
Inauguration du pôle multimodal d’Agen ce matin, sous escorte policière vu que les anti-LGV ont annoncé leur présence. En 2020, sur le papier, il y aura deux gares SNCF dans l’Agenais… Dans une dizaine d’années, si le calendrier est respecté, le voyageur arrivant à la gare d’Agen (centre-ville) aura à prendre la liaison TER pour rejoindre la rive gauche, du côté de Brax et Roquefort. C’est à cet endroit que la gare nouvelle LGV doit voir le jour. La LGV, la ligne à grande vitesse, permettant de rejoindre Toulouse, Bordeaux et Paris en trois heures et des poussières de minutes, contre plus de quatre heures à ce jour. <http://www.tgv-albret.fr/component/content/article/855-agen-avec-deux-gares-lon-segarer.html>
FR3 :Pièces à conviction : Très cher TGV
20 janvier 2014
Que faut-il de plus ?
« TRES CHER TGV » reportage diffusé sur FR3 le 4 décembre 2013 dans son émission « pièces à conviction »Pendant 70’, dans cette émission ministres, économistes, patron de la SNCF, universitaires et autres n’ont fait que confirmer nos arguments d’un projet inutile, ruineux et catastrophique pour l’environnement humain et naturel. Ils ont osé nous montrer à qui profitent ces grands travaux. Un projet uniquement aux services des lobbies et de certains élus Ils ont osé montrer la folie du tout TGV, les dessous sombres, la face cachée des projets. La vérité à couper le souffle. Cette vérité doit-être entendue par les décideurs et nos élus pour annuler le projet de LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux Espagne. Nous vous en proposons un résumé de 15’ qui nous l’espérons vous interpellera.
Cliquez : <http://youtu.be/wKGkNghwr8g> Résumé de l’émission sur Youtube (15 min)
(Pour ceux qui préfèrent regarder l’émission dans son intégralité (70 min) : cliquez <http://www.youtube.com/watch?v=e6ZjpKgFPBE> ici
Les anti-LGV se retrouvent à Barbaste Samedi 18 janvier
14 janvier 2014 – SudOuest
Les associations d’Aquitaine et de Midi-Pyrénées veulent définir une stratégie commune
Catherine Aime et Charles d’Huyvetter de TGV Albret © Photo archives Anne Gresser
Les anti-LGV ne baissent pas les bras. Samedi, les leaders des associations d’Aquitaine et Midi-Pyrénées se retrouveront à la mairie de Barbaste.Comme le souligne Charles d’Huyvetter, l’un des responsables associatif de Lot-et-Garonne : « Notre objectif est de définir une stratégie commune et décider d’actions que nous allons mener ensemble. »
Train : près de 5 000 km de lignes régionales menacées
8 janvier 2014 – Sud Ouest
Parmi la vingtaine de liaisons concernées, deux se trouvent en Aquitainel.Selonla Fédération nationale des associations des usagers des transports, une vingtaine de lignes régionales seraient menacées de fermeture dont deux en Aquitaine. Près de 5000 km de lignes ferroviaires régionales seraient menacées de fermeture : c’est ce qu’affirme ce lundi, la FNAUT, la fédération nationale des associations des usagers des transports.Si le Sud-Ouest s’en sort bien, dans la mesure où en Aquitaine seules deux lignes seraient concernées – Agen-Siorac en Périgord et Périgueux-Le Buisson -, au total, une vingtaine de liaisons seraient concernées au niveau national dont Limoges-Brive par Saint-Yrieix ou Carcassonne-Limoux-Quillan.Une perspective que déplore Jean Sirvardière, le président de la FNAUT. « Nous ne disons pas que ces lignes vont disparaître, nuance-t-il, mais nous disons que ces lignes sont très fragiles et que si rien ne change aussi bien au niveau de l’État, des Régions, de la SNCF et de Réseau ferré de France, elles vont vraisemblablement finir par disparaître dans les dix ans qui viennent. »
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Le mistigri de la dette
27 décembre 2013 – Marianne du 20 déc au 3 janvier n° 870 / 871
Le TGV : vache à lait de la SNCF et vache sacrée des technocrates
27 décembre 2013 – Boulevard Voltaire
La baisse de fréquentation inquiète la SNCF. Les billets sont trop chers et les usagers préfèrent le covoiturage ou l’avion à bas coût.Que n’en ai-je entendu, des cocoricos sur les records de vitesse, le schéma directeur en toile d’araignée, beau comme la ligne Maginot, et les 3 heures pour atteindre son chez-soi du Luberon ou de l’île de Ré.Le constat est accablant. Nous savions depuis l’été que le TGV demande trop de capitaux et que la plupart des voies nouvelles projetées ne seront pas réalisées. Une dette insurmontable s’accroissant de 1,5 milliard par an. Des choix de lignes au bon plaisir des élus locaux et des bobos parisiens en mal de RTT. Des retombées nulles pour les régions traversées, à part l’immobilier qui flambe.Maintenant, la baisse de fréquentation des lignes existantes inquiète la SNCF. Les billets sont trop chers et les usagers préfèrent le covoiturage ou l’avion à bas coût. Les cadres refusent de se laisser traire et vont moins en première. Ni les billets promotionnels à 30 € ni les rames Ouigo ne résoudront la question de fond : hors les lignes initiales, le réseau TGV, de par ses énormes coûts de construction et d’entretien, ne sera jamais rentable.La catastrophe de Brétigny est intervenue, comme un signal, après la décision de refusionner la SNCF et Réseau ferré de France et le virage à 180º visant à rattraper trente ans d’impéritie : les TER refilés aux régions, le tout TGV eut pour contrepartie la grande misère de lignes secondaires vétustes, saturées, dangereuses.
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Moirax. Le «cadeau de Noël» des anti-LGV : du fumier!
26 décembre 2013 – La Dépêche
Le Père Noël est contre la LGV. À moins que le bonhomme vêtu de rouge et chaussé de bottes vertes arrivé dans son traîneau moderne – un 4×4 tirant une remorque de fumier – expliquant devant la mairie de Moirax,en cette veille de Noël, qu’il avait déposé un cadeau fumant à Henri Tandonnet, sénateur maire de la commune, ne soit qu’un postiche de plus. Il semblerait bien qu’au vu des revendications de l’homme à la barbe blanche, les anti LGV de la Coordination 47 aient décidé eux aussi de souhaiter un joyeux Noël à l’élu de l’agglomération agenaise. «Nous ne voulions pas que les élus passent un réveillon tranquille au coin du feu en pensant à ce projet qu’ils sont si fiers de porter» lance Charles D’Huyvetter, l’un des responsables de l’association. Si le dépôt d’une remorque de fumier n’a certainement pas empêché le sénateur maire de Moirax de passer un réveillon tranquille, il a néanmoins marqué une fois de plus la détermination des anti-LGV à se faire entendre.
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FR3 Pièces à conviction
Regardez : mercredi 4 décembre 2013 : FR3
à 23:10h le magazine : PIÈCES À CONVICTION : Le coût du TGV
LGV: Créateur d’emplois?…. voici la réalité!
2 decembre 2013 – Le Moniteur
Lire l’article: cliquez:
La CGT dénonce du dumping social chez un sous-traitant d’Eiffage sur le chantier de la LGV
TGV en Albret
La LGV, une «absurdité politique» ?
26 octobre 2013 – le Petit Bleu ( La Dépêche)
«Dans l’édition du Petit Bleu du 9 octobre dernier, le président de la chambre de commerce et d’industrie s’est exprimé au sujet de la ligne à grande vitesse.
Selon M.Mariotti, le positionnement géographique de l’aéroport d’Agen est un atout. Il permet d’accueillir une clientèle privée ou d’affaires. À l’inverse, la future ligne Bordeaux -Toulouse devrait réduire le nombre de passagers et servira uniquement les intérêts de ces deux grandes villes, mais pas ceux d’Agen, avant de conclure que cette même LGV est un projet historique pour le développement économique de notre département.
Ce qui revient à dire que la LGV n’amènera rien au Lot-et-Garonne, mais qu’elle est indispensable à son développement économique.
La position du président de la CCI rejoint celle d’un autre président, celui de la chambre d’agriculture. M. Bousquet-Cassagne est également favorable à la LGV, sans toutefois évoquer les raisons qui motivent son choix. Alors, j’ai essayé de rechercher quels pouvaient être les avantages pour un agriculteur en train d’arroser son champ de maïs que de regarder passer un train lancé à grande vitesse, transportant des voyageurs et dont l’unique intérêt est de gagner une poignée de minutes entre Bordeaux et Toulouse. Sincèrement, je n’ai rien trouvé, si ce n’est quelque 800 ha de terres agricoles sacrifiées et supprimées, afin de construire la nouvelle ligne ferroviaire.
Si la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse est toujours d’actualité, elle le doit au fait qu’elle est le fruit d’une volonté politique : la politique de l’absurde qui fait de ce projet une absurdité politique.»
Christian Bidan, Lavardac
21 – 25 octobre 2013
Dans le Journal du Pays Basque :Par Pierre Recarte – Vice Président du CADE
Jean-Marie DARMIAN, (sur son propre site) Maire de Créon et Vice-Président du Conseil Général de la Gironde,
http://www.jeanmariedarmian.
Sud Ouest : http://www.sudouest.fr/2013/
LGV : Lettre ouverte aux décideurs aquitains – Par Collectif des associations de défense de l’environnement (CADE)
25 octobre 2013 – Le Journal du Pays Basque
La société A’lienor, constructeur et concessionnaire de l’autoroute A65 Pau-Langon, vient de publier son rapport financier annuel. La situation n’a pas évolué depuis 2 011. Les pertes, 35 millions d’euros, sont identiques à celui du chiffre d’affaires, 35 millions d’euros.
Les trois collectivités territoriales aquitaines intéressées par le tracé et le conseil régional ont cautionné 405 millions d’euros sur les 900 millions empruntés par A’lienor pour la réalisation de cet équipement. Les contribuables aquitains devront, à terme, être à nouveau sollicités ! Voici un extrait de la lettre rédigée à l’initiative d’Alain Rousset, co-signée par de nombreux “grands élus aquitains