Mairie de Fumel
Place du Château
47500 Fumel
Horaires d’ouverture :
Du lundi au Jeudi : de 8 h 30 à 12h et de 13h30 à 17 h 30
Le vendredi : de 8 h 30 à 12h et de 13h30 à à 16 h 30
Tél : 05 53 49 59 69
Mél : accueil@mairiefumel.fr
Si le Château de Fumel ressemble aujourd’hui à une villa italienne, il n’en a pas toujours été ainsi.Alors que la famille de Fumel est mentionnée dès le 11e siècle, la première trace écrite du castrum ne remonte qu’au 13e siècle. Cependant, selon l’étude menée par G. Séraphin, une tour quadrangulaire trônait déjà sur le socle rocheux au 12e siècle.
Primitivement le Château comporte 6 tours : 4 rondes et 2 carrées. La porte principale s’ouvrait du côté de la ville. Elle était percée dans un mur reliant les deux grosses tours rondes et était gardée par un pont-levis.
Plan du Château d’après un document du 16e siècle. |
Pendant la « Guerre de Cent ans », le château médiéval est très endommagé. Il est remanié durant la 2emoitié du 15e siècle par Bernard de Fumel qui obtient l’autorisation de le fortifier. Durant le 3e quart du 16e siècle, François de Fumel entreprend sa réorganisation en H autour de 2 cours en terrasse. Les travaux sont interrompus après son assassinat en 1561. L’importante bâtisse du 16e siècle est radicalement modifiée et mise au goût du jour seconde moitié du 17e et du 18e. L’édifice seigneurial se transforme en demeure aristocratique : aménagement des terrasses qui surplombent le Lot, le château prend la forme d’un U. La silhouette du château est définitivement modifiée lorsqu’en 1973, l’ordre est donné de raser les tours à la hauteur du logis. Leurs pierres serviront à la construction de maisons sur la promenade.
La famille des Fumel posséde le château le château du 11e au 19e siècle où il passe, par mariage, à la famille des Langsdorff. Cette famille le vend à la commune de Fumel en 1950, qui y installe la Mairie. Les visiteurs sont les bienvenus dans les jardins et sur les terrasses du Château, donnant une vue imprenable sur le Lot et le théâtre de la Nature.Son cadre de vie agréable et protégé a depuis toujours attiré l’Homme. Ainsi, les racines de Fumel se mêlent à celle de l’humanité. Fumel a su garder les témoignages de ces ancêtres et des époques. Elle les arbore fièrement et sait les prêter, le temps d’une ballade, aux visiteurs et aux curieux.
De la préhistoire au Moyen âge
En 1923, l’archéologue Laurent Coulonges découvre le site du Martinet à Sauveterre-la-Lémance, commune de Fumel-Communauté. Il met à jour l’existence d’une culture préhistorique particulière entre le paléolithique et le néolithique. Il lui donnera le nom de « Sauveterrien » (de 8000 à 5000 avt JC).
Cette profusion de vie ne doit rien au hasard. Autour de Fumel, trois vallées facilitent au cours des âges la migration des peuples. Mais si elle a amené la vie, cette convergence sera aussi à l’origine de tensions.
Lorsque l’Homme se sédentarise et plus tard commence à bâtir, Fumel apparaît naturellement comme un lieu stratégique. Les tours de guet et les donjons sont construits en grand nombre dans toute la région, la pierre de tailles s’y trouvant en grandes quantités.
Du Moyen âge à la Renaissance
Les premières traces écrites de l’histoire de Fumel remontent au XIème siècle. Elles y relatent l’existence de hauts et puissants barons et du château de Fumel, qui dès l’origine commande le passage du Lot. Le bourg castral est rattaché à la paroisse Saint-Hippolyte-de-Condat. Il est éloigné d’environ 1,5km de l’église et de son cimetière, selon un schéma classique de cette époque en Agenais.
La baronnie de Fumello a pour devise « Une seule Foi, une seule Loi, un seul Amour ». Son importance est formulée par O’Gilvy dans son Nobiliaire de Guyenne et Gascogne : « par son ancienneté, par ses alliances, par les emplois distingués que, de tout temps, ses membres ont occupé, est non seulement une des premières de Guienne, mais même l’une des plus illustres de France ». |
La guerre de cent ans vient troubler cette prospérité. Le conflit entre le royaume de France et celui d’Angleterre prend en partie ses sources du mariage d’Eléonore d’Aquitaine avec Henri Plantagenet en 1152 qui devient roi d’Angleterre en 1154. L’Aquitaine, et donc l’Agenais, est dès lors disputée par les deux royaumes, du fait de la richesse de la région.Fumel est alors une ville prospère dont l’économie, les droits et la morale sont régis par une charte de franchises et de coutumes dès 1265. Elle fixe les rapports entre Seigneur et population. |
Entre 1414 et 1442, Fumel passe alternativement des Anglais aux Français. Chaque fois, le château et les Fumélois en subissent les conséquences. Le château de Fumel ne se relève de ses ruines que vers 1468.
De la Renaissance à la Révolution française
Au 16e siècle, la France est déchirée par une guerre qui oppose catholiques et protestants. Fumel n’est pas épargnée.
François Ier de Fumel, ardent catholique, en paiera le prix fort.
Alors qu’il revient de la chasse à Bonaguil le 23 novembre 1561, il rencontre des protestants sortant du prêche à Condat. Il lance son cheval au milieu d’eux, en frappe et en maltraite plusieurs. Les protestants résistent et le poursuivent jusqu’au château qu’ils assiègent.
François de Fumel est blessé d’un coup d’arquebuse, tiré du grenier d’une maison voisine. La panique que cela suscite entraine la chute des défenses du château. Les assaillants s’emparent du Seigneur et le torturent avant de lui trancher la tête en présence de son plus jeune fils et de sa femme. Celle-ci sera tenue prisonnière au château pendant deux mois.
La reine Catherine de Médicis, vivement affligée par l’assassinat de François de Fumel, envoie Blaise de Montluc, dit « le Boucher Royaliste » ou « Montluc le Rouge », sur les lieux. Il y exerce de terribles représailles et retire à la population ses privilèges en abrogeant la charte de franchises et de coutumes. Dorénavant, le Seigneur aura les pleins pouvoirs.
La ville est réduite aux limites de sa vieille enceinte. Ses maisons sont abattues jusqu’au premier étage et ne peuvent plus s’élever sauf accord du Seigneur. Ces mesures portent un grand coup à la cité et la régiront jusqu’en 1789.
De la Révolution française à 1847
La proclamation de la République entraîne la démolition des tours du château de Fumel. En 1793, ses archives et tous les symboles de la féodalité sont brûlés sur la place publique : écussons, couronnes, portraits de famille, de Louis XIV …
La ville est à nouveau libre de se développer après plus de deux cent ans de mesures draconiennes.
Fumel prend une importance administrative dès 1790 en devenant le chef lieu du canton. Entre 1806 et 1834, sa population double pour atteindre les 2348 habitants. Le commerce se développe grâce à ses trois ports : le port du Passage au Sud Ouest, celui de Libos à l’ouest et le port de Condat à l’est.
Le papier fabriqué dans les papeteries de la Lède, de la Lémance et de la Thèze est expédié par voie fluviale vers Bordeaux. C’est également le cas de la production des forges établies dans la vallée et de la pierre provenant des carrières de Condat.
Un pont suspendu remplace le bac à partir de 1845 pour relier Fumel à Montayral.
De l’usine à nos jours
L’usine s’installe à Fumel en 1847, pour différentes raisons.
D’abord, la tradition métallurgique et artisanale de la vallée de la Lémance assure une forte présence de main d’oeuvre. Ensuite, on trouve beaucoup de minerai de fer dans un périmètre de 20km autour de Fumel, ainsi que de la castine. Le Lot y est également pour beaucoup : il permettra à l’usine non seulement d’importer les matières premières et d’exporter les produits finis, mais aussi de refroidir les machines et, plus tard, de produire sa propre électricité.
L’usine est tout d’abord destinée à fabriquer les coussinets de voie ferrée (pièce qui fixe le rail au sol) avec de la fonte de première fusion.
Elle devient peu à peu l’ « usine des tuyaux », surnom du à la fabrication de conduits d’eau potable. Pourtant, au début du 20ème siècle, sa production est très diversifiée : plaques d’égout, bornes fontaines (dont certaines pour Paris), candélabres, escaliers en fonte, poids à peser, altères … |
L’usine crée son propre Centre d’Apprentissage d’un excellent niveau de qualification. La Société Minière et Métallurgique du Périgord (SMMP) offre à la ville son premier équipement de loisir, un kiosque de musique implanté derrière l’église. Il est inauguré en 1902 à l’occasion de la fête donnée en l’honneur de l’arrivée de l’éclairage électrique.
En 1942, la direction de l’usine, qui dépend désormais de Pont-à-Mousson, équipe l’agglomération fuméloise du premier complexe sportif du département : le stade Henri Cavaillé. Il sera vendu à la municipalité en 1990.
En 1988, l’usine devient la Société Aquitaine de Fonderie Automobile (SADEFA) avant de devenir Métaltemple Aquitaine en 2009.
L’usine compte aujourd’hui 250 salariés. Elle ouvre ponctuellement ses portes aux visiteurs pour faire découvrir la Machine de Watt. Cette immense soufflerie du XIXème siècle fonctionnant à la vapeur alimentait le haut fourneau. |
Revue de Presse
Office de Tourisme : le guide découverte 2016 est arrivé
Mardi 2 février les membres du comité de direction de l’office de tourisme Fumel-Vallée du Lot ont eu le plaisir de feuilleter, en «avant-première», le guide découverte 2016.
Pour la deuxième année de petits témoignages, disséminés dans le guide, montrent comment des visiteurs du territoire sont devenus des résidents… voire des professionnels du tourisme local. Ce qui a inspiré le slogan «Visitez ! Vous allez rester.» La principale nouveauté est le regroupement de toutes les informations en un seul beau livret de 130 pages : hébergements, visites, dégustations, activités… Le format reste adapté à un sac à main ; la couverture a été travaillée pour illustrer douceur, patrimoine, slow tourisme ; l’accès reste facilité par le téléchargement possible sur www.tourisme-fumel.com. Cette année l’équipe de l’office a ajouté deux nouveaux plans pour visiter librement le bourg de Monsempron et le village de Bonaguil. Janouille fait son apparition avec des prestations estivales qui seront à ne manquer sous aucun prétexte… en tournonnais. Certaines thématiques bénéficient d’une offre qui se développe : la pêche avec de nouveaux hébergements labellisés, le cyclotourisme avec la véloroute de la vallée du Lot, le pique-nique avec de nouveaux lieux aménagés, notamment près de l’ancienne gare de Fumel… L’assiette de Pays reste une valeur sûre, la page qui lui est dédiée démontre la qualité des productions et restaurateurs locaux.Tous les Lot-et-Garonnais sont invités à venir chercher ce guide pratique à l’office de tourisme de Fumel, place Georges Escande. Ce livret pourra vous accompagner tout au long de l’année pour vos visites ou celles des amis et clients que vous recevrez.
Belle cérémonie pour les Trophées du sport
C’est dans un centre culturel quasiment plein que s’est déroulée cette cérémonie des Trophées du sport 2016 de Fumel communauté, animée par Pierre Sicaud et dont l’invité d’honneur était Hugues Miorin, enfant du pays et international du Stade Toulousain. On notait la présence de J.-L. Costes, député, maire de Fumel, et de nombreux élus du territoire.
Christian Saint-Béat, vice-président de Fumel communauté, chargé de la jeunesse et de la santé, remerciait tout d’abord les entreprises privées qui ont accepté de soutenir les clubs sportifs qui œuvrent sur notre territoire et qui ont directement participé à cette soirée. Il ajoutait : «Nous sommes ici, ce soir, pour mettre à l’honneur les performances réalisées, bien sûr, mais également pour réunir la famille sportive de Fumel communauté et mettre en lumière l’aspect humain, dépassant le cadre de la seule compétition, qui donne au sport toute sa dimension».
Honneur à Rufino Pineda
Cette année, le jury a souhaité mettre à l’honneur un personnage qui a marqué le sport de notre territoire. Il a décidé de remercier et honorer Rufino Pineda pour le travail qu’il a réalisé tout au long de sa carrière d’entraîneur au Boxing-Club Fumel-Libos. En effet, pendant des décennies, Rufino Pineda a consacré tout son temps libre aux adeptes du «noble art», quels qu’ils soient. Mais il convient cependant de rappeler les résultats obtenus au plus haut niveau, qui ont fait de lui un entraîneur reconnu. Ce personnage du sport local a permis aux boxeurs fumélois d’obtenir plusieurs titres de champions de France, deux titres de champions d’Europe avec Saïd Skouma et deux participations au championnat du monde toujours avec Saïd Skouma. Son palmarès d’entraîneur est également riche de multiples titres de champions d’Aquitaine.
La cérémonie se poursuivait par un hommage à différents bénévoles, entraîneurs et dirigeants des clubs du territoire. On abordait ensuite le palmarès sportif proprement dit…
Mais à qui appartient vraiment la machine de Watt ?
C’est un imbroglio qui dure depuis près d’un an et qui pourrait connaître une issue prochaine. Avec une première étape mardi prochain 16 février devant le tribunal de grande instance d’Agen. La juridiction lot-et-garonnaise examinera en effet à l’audience de 9 heures une procédure dite de référé expertise, demandée par Fumel communauté. Objet de la demande ? Déterminer le propriétaire de la fameuse machine de Watt, du nom de cette imposante soufflerie du XIXe siècle, qui, à l’époque, alimentait le haut-fourneau dans lequel le minerai était fondu. Héritage d’un passé révolu, la machine de Watt de Fumel est l’une de deux seules encore en état de fonctionner dans le monde. Bien.
La machine de Watt est arrivée sous les feux de l’actualité et sur le tapis des négociations l’an passé, en plein plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) suite à la liquidation de Métal Temple Aquitaine. Les métallos, syndicats CGT et CFDT en tête, revendiquant alors ce patrimoine comme étant le leur, celui des ouvriers de l’usine, ils proposent que la machine soit vendue à la région Aquitaine et que l’argent soit reversé au pot du PSE pour améliorer les conditions de départs des salariés licenciés. Après plusieurs mois d’atermoiements, la région notifie par écrit son refus de se porter acquéreur de ladite machine de Watt.
«Elle est à nous, comme les murs»
Sollicitée à son tour, Fumel communauté refuse également d’acheter la «machine bâtiment» : «On ne va pas payer pour quelque chose qui nous appartient». À l’automne 2015, un débat au sein du conseil communautaire envisage déjà de demander un référé expertise à la justice pour trancher le problème de propriété.
Fumel communauté, propriétaire des murs de l’usine depuis 2010, la revendique : «Nous considérons que la machine, comme les murs de l’usine, est propriété de Fumel communauté», explique Clémence Robert-Brandolin, directrice générale des services de la collectivité. «Cette machine est classée et inaliénable. Nous souhaitons la valoriser au titre du patrimoine industriel et culturel local».
Une démarche contestée par le liquidateur de Métal Temple Aquitaine, Me Jean-Claude Clanet : «Cette machine comme tous les matériels de l’usine de Fumel a été propriété de tous les exploitants qui se sont succédé. Elle a été cédée au final à l’exploitant actuel (Métal Aquitaine) dans le cadre de la liquidation judiciaire de la société Métal Temple Aquitaine. Compte tenu de l’insuffisance de moyens de la liquidation judiciaire pour assurer le financement du plan social consécutif au licenciement d’un nombre important de salariés, la société Métal Aquitaine a accepté de restituer cette machine à la liquidation de façon à ce que son prix de cession permette ce financement. La demande en justice de Fumel Communauté est donc intempestive du point de vue juridique et dramatique du point de vue social.» Ambiance.
Reste que même si le liquidateur obtenait gain de cause, on voit mal comment en l’état la machine pourrait servir à qui que ce soit : elle ne rapportera de l’argent qu’à condition d’être vendue. Et personne n’est acheteur.
En attendant les premiers éléments de réponse le 16 au tribunal, la machine de Watt, elle, ne se visite plus.
Conseil communautaire : le mariage avec Penne avalisé
Lors de cette dernière réunion de l’année du conseil communautaire, le premier sujet abordé, et non le moindre, a été le regroupement des communautés de communes de Fumel et de Penne-d’Agenais voté par nos voisins la semaine dernière.
J.-L. Costes expliquait le choix de la CCPA (Communauté de communes de Penne-d’Agenais) et énumérait les avantages de ce mariage pour Fumel Communauté :
«Un renforcement de l’activité et donc de la présence du Trésor public, amélioration de la puissance budgétaire de la nouvelle entité et la CCPA a une fiscalité plus dynamique que la nôtre en raison de sa proximité avec Villeneuve-sur-Lot».
Des représentants des communes de Montayral, Saint-Vite et Blanquefort indiquaient que leur conseil municipal avait émis un avis défavorable à cette fusion soulignant que Penne ne faisait pas partie du bassin de vie du Fumélois et vivait plutôt dans l’orbite villeneuvoise. Réponse de J.-L. Costes : «C’est Penne qui, après études et réflexion, a choisi de se rapprocher de nous plutôt que d’une autre communauté de communes. Ce choix a été avalisé par le préfet».
Un conseiller se demandait ce qu’il pouvait y avoir en commun entre Fumel et Penne. J.-J. Brouillet lui répondait : «Comme dans tout mariage arrangé, les époux ne se choisissent pas. Mais allons de l’avant ! Des groupes de travail ont été mis en place pour créer des projets communs. On a un an pour travailler ensemble et préparer la fusion».
Le projet était finalement adopté par le conseil : 29 voix pour, 12 contre et 1 abstention. La nouvelle communauté comportera 27 communes et regroupera près de 25 000 habitants.
Dans la foulée était votée la dissolution du Syndicat intercommunal des sports qui regroupait Fumel et Monsempron-Libos et il était décidé de transférer les compétences du Syndicat pour l’aménagement des versants de la Léman ce et la gestion des bassins et de la Thèze à Fumel Communauté.
Découvrez les décors de Noël
Comme chacun a pu le remarquer, les fêtes de fin d’année approchent et à Fumel comme dans la plupart des villes, on a installé des décors de circonstances. Cette année, le thème retenu pour les décors de Noël installés sous les arcades du château est «Blanche Neige et les 7 nains». Tout au bout d’un sentier qui se faufile au milieu des arbres, vous pourrez découvrir Blanche Neige qui vous attend devant sa chaumière. Branchages, mousse et feuilles, ainsi que la maison de Blanche Neige ont été mis en place par une poignée d’élus et les agents des services techniques de la mairie. Le fil rouge de toutes les décorations installées dans la ville, c’est les pommes que l’on retrouve partout. Trois sapins décorés de pompons rouges et de pommes viennent compléter cette décoration : un sur la place de l’Olivier, un second face à la place Voltaire et un troisième à Condat. Les pompons et les pommes ont été réalisés par les enfants des écoles de Fumel dans le cadre des TAP (temps d’activités périscolaires) avec l’aide des aînés du foyer du 3e âge. Les décors se visitent aux heures d’ouverture des jardins de la mairie tout au long du mois de décembre. N’oubliez pas d’aller jeter un coup d’œil à la décoration du grand escalier intérieur où trônait autrefois une tête d’éléphant. Ajoutons que c‘est l’entreprise locale Horti Fumel qui a réalisé le givrage de la forêt. Rappelons que le Noël des enfants aura lieu le samedi 12 décembre.
«Dimanche Théâtre» avec le Théâtre du Baroud
Huit «Dimanche Théâtre» de novembre 2015 à juin 2016 sont programmés avec Sylvie Fumex qui sera aux commandes les 22 novembre, 13 décembre, 10 janvier, 7 février, 6 mars, 3 avril, 29 mai et 19 juin, de 10 heures à 17h 30, en la salle des Consuls, une journée pour un travail en profondeur. C’est ouvert à tous les adultes et jeunes à partir de 16 ans qui souhaitent découvrir le théâtre, s‘amuser, dire, rêver, apprendre, aux personnes ayant déjà connu les joies de la scène et à celles qui veulent les découvrir. Les techniques enseignées au fil des rencontres «Dimanche Théâtre», au travers d’exercices individuels et collectifs, feront appel à la réactivité, la spontanéité, la créativité, la disponibilité aux émotions, à l’imaginaire, à l’écoute… Elles demanderont aux participants un maximum de lâcher prise, beaucoup de générosité, d’accepter de prendre des risques sur scène et de se rendre disponibles aux autres. Pour tous renseignements et inscriptions, contactez directement Sylvie Fumex au 06 63 16 21 98 ou envoyez un courriel à theatredubaroud@gmail.com
À l’occasion des journées européennes du Patrimoine qui se déroulent ce week-end, de nombreuses animations sont prévues sur l’ensemble de Fumel-Vallée du lot.
Condezaygues : Visite de l’église communale.
Fumel : Promenades à bord de la gabarre fuméloise en langue française et néerlandaise, visite du musée de la Cayenne.
Montayral : Parcours découverte botanique, visite commentée par un passionné de botanique. Rendez-vous à 8 h 30 jusqu’à 12 h 30.
Saint-Front-sur-Lémance : Visite du château de Bonaguil. Une balade contée et musicale est organisée ce soir à 20 h 30 ; visite de l’église de Lastreilles ; visite de l’église du Bourg, visite du musée d’histoires et figurines.
Saint-Vite : Parc du château des Rochers.
Sauveterre-La-Lémance : Visite guidée du musée de Préhistoire avec une exposition temporaire «Sauveterre — Au cœur des débats préhistoriques» le dimanche 20 septembre à 14 h 30.
Tournon-d’Agenais : Visite de l’église Saint-André-de-Carabaisses.
L’association Val Lémance propose 2 circuits pour partir découvrir le patrimoine de la vallée de la Lémance.
Loisirs en fête : une réussite malgré la pluie
Loisirs en fête a eu lieu le samedi 12 septembre, au parc des sports Henri-Cavallier, toute la journée.
Plus de 45 associations ont répondu présent malgré les mauvaises prévisions météorologiques. Elles se sont adaptées afin de satisfaire le public : les démonstrations de danse ont eu lieu dans la salle ménagère au lieu de la scène prévue à l’extérieur et certaines activités ont dû être annulées ou déplacées en raison de la pluie le matin et des flaques l’après-midi.
Si le public n’était pas au rendez-vous le matin, l’après-midi plus clément a permis à de nombreuses familles de découvrir les activités proposées. Plus de 70 enfants ont ainsi participé au parcours de découverte mis en place par la mairie et sont repartis avec leur médaille.
Cette année, quelques associations du territoire avaient décidé de rejoindre Loisirs en fête pour la première fois. C’est le cas notamment de l’association Dyspraxique Mais Fantastique 47 (DMF47) qui a pu sensibiliser le public à ce trouble développemental peu connu.Les personnes n’ayant pas pu se rendre à Loisirs en fête peuvent télécharger le guide des associations sur le site de la mairie de Fumel. Celui-ci regroupe les contacts des associations fuméloises sportives, culturelles, mais aussi caritatives, d’anciens combattants.
DE LA MAGIE, DU THÉÂTRE…, UNE BELLE SAISON VA DÉBUTER
C’est hier soir que la saison culturelle mise en place par Fumel-Communauté a été dévoilée : une saison de spectacles vivants s’étendra du 9 octobre au 27 mai 2016 ; 12 spectacles pour tous déclinés en théâtre, cirque, humour, chanson, danse… avec des artistes d’ici et d’ailleurs, neuf spectacles au centre culturel, un à Saint-Front-sur-Lémance, un autre sous le boulodrome couvert de Fumel et enfin un à Anglars-Juillac, ceci à l’invitation de la communauté de communes de la vallée du Lot et du Vignoble. Des places vont s’échelonner de 4 € à 13 €, ainsi que la possibilité d’acquérir une carte d’abonnement et de réduction : le pass-curieux, et un forfait famille.
Au niveau du rayonnement au sein de la communauté de communes, 1200 élèves assisteront à des séances scolaires et 39 classes sont inscrites sur des parcours qui leur permettront de bénéficier d’interventions d’artistes en temps scolaire en lien avec ces spectacles, 275 heures d’ateliers sont prévues. 400 élèves assisteront à la représentation «Le journal de Grosse Patate» de Dominique Richard.
Ouverture de la billetterie aujourd’hui à partir de 14 heures, à l’Office de tourisme Fumel Vallée du Lot : 05 53 71 13 70. Plus de renseignements sur le site internet : www.spectacles-fumelcommunaute.com
LES VÉNUS DE GHISLAIN GALLERNEAU À BONAGUIL
Jusqu’au 27 septembre, le monde minéral de Bonaguil accueille dans ses murs les sculptures de pierre de Ghislain Gallerneau. «La rencontre de 2 univers de pierres, celles taillées du château comme écrin, celles trouvées dans la nature et sculptées comme bijoux. C’est cette forme de discussion qui se crée entre le lieu et les œuvres qui fait évoluer mon travail, la perception que je peux en avoir, mais aussi la perception du public» commente l’artiste. La démarche de Ghislain Gallerneau est originale et ses Venus ne le sont pas moins. «J’ai une formation de tailleur de pierres et il y a quelques années, je me suis lancé dans cette démarche artistique : travailler à partir de pierres naturelles, de la pierre sauvage provenant de basse vallée du Lot. De par ma formation initiale, je sais lire et analyser les cartes géologiques. Ces recherches me permettent également de revaloriser la richesse lithique de ces vallées, une richesse qui était uniquement connue de quelques initiés».
Réinterpréter la représentation féminine
Mais ces recherches ne se déroulent pas uniquement sur le terrain : l’inconscient collectif est lui aussi mis à contribution à travers ces formes féminines, archaïques, paléolithiques qu’il fait surgir de la pierre. «Réinterpréter la représentation féminine en ronde-bosse du paléolithique est pour moi une façon de toucher au plus près à la genèse artistique sculpturale de nos latitudes culturelles et plus largement aux arts primitifs qui sont les formes d’expressions artistiques qui me touchent et me parlent le mieux et le plus. L’idée, l’intention que le sculpteur des origines a voulu transmettre et montrer à travers l’image d’une femme aux reliefs généreux ne nous est pas parvenue et reste auréolée de mystère. Il nous reste pour les interpréter la vérité de leur apparence, ce qu’elles nous donnent à voir, dépouillée de concept, laissant le champ libre à notre imagination. C’est avec ce concept que je sculpte, jouant librement avec les formes et ce que suggère cette image féminine, en situant volontairement ces sculptures entre œuvre d’art et objet cultuel, allant au-delà de la simple esthétique, curieux et intrigué de ce que suscitera cette représentation de la femme préhistorique clairement déifiée». Le vernissage de l’exposition se déroulera le 12 septembre à partir de 18 heures, «avec un événement un peu particulier : j’ai créé un lithopone en pierre de la vallée voisine de la Thèze et un ami musicien sera présent pour en jouer en public».À l’exception du vernissage où l’entrée sera gratuite, l’exposition se visite avec le billet d’entrée du château.
«LE CHEMIN NE S’ARRÊTE JAMAIS»
Samedi dernier, dans les galeries du Château de Fumel, a eu lieu le vernissage de l’exposition des peintures de Marie Barrueco, en présence de Jean-Louis Costes, député-maire de Fumel, ainsi que Sylvette Lacombe, attachée à la culture, d’Odette Langlade, adjointe au maire, et de nombreux invités. Plus de 70 toiles qui regorgent de lumière et débordent de couleurs garnissent les cimaises des galeries : un travail impressionnant, une œuvre solaire qui mérite une visite. Nous avons profité du vernissage pour poser quelques questions à l’artiste.
Comment définiriez-vous votre peinture ?
Étant autodidacte, je suis toujours en éveil, toujours curieuse, toutes les techniques m’intéressent, mon style est certainement un mélange de toutes les influences dont je me suis nourrie depuis 45 ans. Ce qui est intéressant dans l’art, c’est que le chemin ne s’arrête jamais. Il y a toujours à apprendre, toujours à découvrir, toujours à travailler, donc pour moi, c’est une source de plaisir inépuisable.
Vos dernières toiles s’inspirent du vitrail. Comment vous est venue l’idée ?
La peinture a le privilège de conférer de la noblesse à n’importe quel sujet. Le vitrail étant par essence même le lien entre la terre et la lumière, pour peu que l’on sache regarder, n’importe quelle scène du quotidien, selon moi, peut devenir vitrail.
Quels sont vos projets ?
D’abord, je suis impatiente de découvrir ce que va me révéler ma prochaine toile blanche. Le résultat fera bien sûr partie de ma future exposition. D’autre part, en toute humilité, je me sens prête à guider ceux qui le désirent sur le chemin de la peinture. Je vais donc, à partir de cet automne, proposer des stages d’initiation ou de perfectionnement sur un, deux ou trois jours.
L’impression générale qui se dégage de vos œuvres est incontestablement la joie de vivre, la couleur, l’optimisme. Est-ce une volonté délibérée de votre part ?
Question embarrassante. Je répondrai donc par une pirouette en citant Anatole France : «L’artiste doit aimer la vie, et nous montrer qu’elle est belle».
À découvrir dans les galeries du Château de Fumel du lundi au samedi de 10 heures à 12heures et de 14 heures à 18 heures (le dimanche de 10 heures à 12 heures) jusqu’au 20septembre.
Bilan positif pour les «chantiers jeunes»
Chaque semaine seize jeunes, répartis en deux groupes de huit, ont participé, avec deux animateurs, à des travaux sur divers chantiers initiés par des communes volontaires membres de «Fumel Communauté». À Monsempron-Libos ils ont aménagé le gymnase «intercommunal» ; àFumel des peintures ont été refaites au Parc des Sports Henri Cavallier ; à Montayral ils ont procédé à la réhabilitation du bourg de Perricard (débroussaillage, peinture…) ; à Lacapelle-Biron ils ont construit un mur en pierres sèches ; à Thézac ils ont débroussaillé et construit également un mur en pierres sèches ; à Sauveterre-la-Lémance ils ont peint la barrière de la gare ; à Tournon ils ont ouvert un chemin de randonnée et enfin ils ont réhabilité des ouvrages d’art pour «Fumel Communauté».
Pour cet été 2015 pas moins de 64 jeunes, au total, ont bénéficié de ces chantiers. Rappelons le principe : le matin, les jeunes travaillent et l’après-midi est consacré à des animations diverses et variées (sportives, culturelles, ludiques…). À l’issue de chacun de ces chantiers, s’ils donnent entière satisfaction, les jeunes volontaires reçoivent un pécule de 80 €.
Vendredi dernier, pour la dernière remise des chèques Madame Millemann, chargée de mission prévention-sécurité à la sous-préfecture de Villeneuve- sur-Lot était présente ainsi qu’Anne-Marie Grimaud en charge du CISPD (Conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance) et Jean-Louis Costes, en tant que président de Fumel Communauté, maître d’œuvre de l’opération.
Galeries du château : Marie Barrueco expose
Marie Barrueco est née à Villeneuve-sur-Lot, puis, à l’âge de douze ans elle a suivi ses parents à Annecy, en Haute Savoie. Lorsqu’elle allait à pied à l’école primaire de Montayral, ou qu’elle traversait le petit bois séparant le «château de Salomon» du village de Perricard, la petite Marie était loin de se douter qu’après un long périple, elle reviendrait habiter sur les lieux de son enfance, et qu’elle consacrerait sa vie à la peinture.
C’est en se promenant dans les vieux quartiers d’Annecy, quelques années plus tard, que le hasard la mit en présence d’un peintre. Cette rencontre se révéla déterminante pour la jeune fille. Ce jour-là, elle sut que ce mode d’expression serait le sien. Elle va peindre… Elle DOIT peindre. Dès lors, cette certitude et cet enthousiasme ne se sont jamais démentis.
En pure autodidacte, elle s’imprègne de tous les styles, ne dédaigne aucune école, sans oublier de copier inlassablement les maîtres qu’elle admire. Cet éclectisme, allié au talent et à un travail acharné, crée une œuvre d’une richesse et d’une diversité peu commune. Chaque toile est pour elle une aventure à part entière avec ce qu’elle comporte de plaisir, de risque et d’inconnu. Les paysages, les fleurs, les personnages que Marie nous décrit avec tant de dextérité, deviennent parfois le point de départ d’autres recherches.
L’artiste nous emmène insensiblement sur des chemins de traverse, ceux-là mêmes qui nous permettent, non pas de quitter, mais d’enrichir la réalité, et ainsi d’entreprendre l’aventure la plus exaltante, celle de la découverte de soi-même.
Vernissage le samedi 22 août 2015 à partir de 10h30. Exposition à découvrir dans les galeries du château de Fumel du 22 août au 6 septembre 2015.
Ouvert du lundi au samedi, de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures, et le dimanche matin de 10 heures à 12 heures.
Exposition dans les galeries du château
Dimanche dernier a eu lieu, dans les galeries du château de Fumel, le vernissage de la 5e édition de l’exposition estivale «Proximio» organisée par «La boulonnerie des artistes».
Cette exposition présente l’art d’aujourd’hui, singulier, brut, avec des signatures prestigieuses telles que Rolande Rouard, Jamaray, Anne-Marie Delpierre qui vient de recevoir le prix «Toile d’Or 2015» décerné par le Fédération nationale de la culture française. Des artistes confirmés aux artistes émergents, venus de la région ou de l’étranger, vous présenteront leurs œuvres : toiles, sculptures, photos qui témoignent de la créativité foisonnante et colorée dont cette exposition fait preuve. Vous pourrez y découvrir la performance publique réalisée lors du marché créatif de Bonaguil en mai dernier. À signaler que des visites guidées sont effectuées par les artistes tous les jours à 11 heures et à 16 h 30.
Ouvert tous les jours jusqu’au 16 août, de 10 heures à18 h 30.
L’histoire se rejoue au château de Bonaguil
Publié le 05/07/2015
Manœuvriers, tâcherons et compagnons ; le château de Bonaguil renoue, le temps d’un week-end avec ces métiers dont la tradition existe toujours dans la mémoire collective. Une mémoire bien vivante car tous ces anciens métiers, et bien d’autres encore sont présents aujourd’hui entre Fumel et le château de Bonaguil. «La chaleur qui pèse a peut-être découragé certains, mais le monde arrive doucement» constate Odette Langlade. «Cette année, beaucoup de touristes étrangers sont présents, j’ai même croisé une famille de Nouvelle Zélande».
Les visiteurs se promènent en famille, visitent le château, s’essaient à taille de pierre, à l’arbalète. Les plus jeunes restent bouche bée devant les jongleurs. Autour de bivouac, un cuisinier s’affaire au-dessus d’une marmite, «voilà le repas du soir…, la viande et les légumes doivent mijoter longtemps». La chaleur des braises se rajoute à la chaleur ambiante. Beaucoup se demandent comment les figurants supportent leurs costumes, «il doit vraiment faire très chaud sous ces vêtements», mais c’est le prix à payer pour conserver l’excellence de ces médiévales.
Au programme aujourd’hui :
Fumel
Défilé médiéval à 11 heures (départ de la place du château de Fumel).
Bonaguil
14 h 30 : « C’est quoi le Moyen-Âge ? » avec Antoine Rego (entrée de la Barbacane) ; Les Goliards, musique, danses médiévales et jonglerie (sur l’esplanade).
15 h 30 : Jonglerie avec les Troubadours de Monnet (dans la cour d’honneur) ; Facéties de Zébulus le bouffon royal (sur l’esplanade) ; promenade aux plantes avec Violène (entrée de la barbacane).
16 h 30 : Les Goliards ; combats en lice avec Lo Manaiders, la Malesole et Historia Tolosane (sur l’esplanade).
18 heures : final sur l’esplanade.
Frédéric Pascaud
Festival de Bonaguil : les spectacles dévoilés
Vendredi soir, dans la salle de réunion du conseil municipal de Fumel, s’est déroulée la présentation du programme du prochain Festival de Bonaguil. Une présentation à deux voix par Maryse Sicot, présidente de l’association, et Frédéric Bernhard, directeur artistique, devant les élus, les bénévoles et bien sûr les passionnés. Le dicton veut que l’on ne change pas une équipe qui gagne. En ce qui concerne le Festival de Bonaguil, on pourrait l’adapter en disant qu’on ne change pas une formule qui gagne. En effet, les chiffres sont éloquents : l’an dernier, le taux de remplissage pour l’ensemble du Festival a dépassé les 90 % et trois spectacles se sont joués à guichets fermés. Fort logiquement, cette 53e édition sera marquée, comme celles des années précédentes, par la variété des types de spectacles et la volonté évidente d’une ouverture à tous les publics. C’est ainsi que l’on trouvera naturellement au programme des pièces de théâtre mais aussi des spectacles musicaux. «Les voyages fantastiques» font même appel à plusieurs genres de spectacle : cinéma, théâtre, cirque, marionnettes… On peut ajouter que cette programmation se veut également «locale» : Nicolas Briançon, Thomas Boissy et Catherine Delourtet sont des «anciens» Baladins et la compagnie Barber Shop Quartet est originaire de la Gironde.
Location et renseignements : Maison du Festival, place Georges-Escande, à Fumel. Tél. 05 53 71 17 17. Courriel : festivaldebonaguilfumel@gmail.com
Les abonnés peuvent se présenter à partir du 24 juin, de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. La location générale débutera le 1er juillet aux mêmes horaires.
Spectacles de 21 h 30 : 35 € (sauf «Voyages fantastiques» 25 € et «Spectacle surprise» 30 €). Tarif groupe : — 5 € ; tarif réduit (scolaires, étudiants – 25 ans et demandeurs d’emploi) : — 10 €. Spectacles matinée : «C’est si bon…» 15 €/12 € et «Le Chapoto» 5 €. Abonnements : Pass découverte (sélection de spectacles) 90 €/Pass intégral 150 €.
Demandez le programme !
Voici le programme de cette nouvelle édition :
Samedi 1er août, à 21 h 30, dans les fossés du château de Bonaguil : «Voyages avec ma tante», une comédie de Graham Greene à l’humour très «british». Spectacle tout public à partir de 10 ans. Molière 2015 de la mise en scène réalisée par Nicolas Briançon.
Dimanche 2 août, à 18 h 30, dans la cour d’honneur «C’est si bon quand c’est défendu» de et avec Catherine Delourtet. Un spectacle théâtral et musical tout public. À 21 h 30, dans les fossés, «La Vénus à la fourrure», pièce de théâtre de David Ives, avec Marie Gillain et Nicolas Briançon. Pour tout public à partir de 14 ans. Ce spectacle a remporté deux Molières 2015, celui de la meilleure pièce et celui de la meilleure actrice avec Marie Gillain.
Lundi 3 août, à 21 h 30, dans les fossés, «Barber Shop Quartet» opus 3. Un petit bijou d’humour musical, tout public à partir de 7 ans.
Mardi 4 août, à 21 h 30, dans les fossés, «Cyrano de Bergerac». Chef-d’œuvre d’Edmond Rostand qu’on ne présente plus, avec la compagnie le Grenier de Babouchka. Tout public à partir de 7 ans.
Mercredi 5 août, à 18 h 30, dans la cour d’honneur, «Le chapoto». Spectacle à partir d’objets manipulés de et avec François Duporge. Pour jeune public et familles. À 21 h 30, dans les fossés, «Les voyages fantastiques» de Jules Verne à Mélies par la compagnie les Trottoirs du Hasard. Œuvre multiforme, coup de cœur de cette édition du Festival, qui fait appel à la fois à l’art du théâtre, du cinéma, du cirque, de la magie… Tout public à partir de 7 ans.
Jeudi 6 août, à 16 heures, dans la salle Jean Goujon à Fumel, spectacle de fin de stage et à 21 h 30, dans les fossés, «Incroyables impros». À partir d’éléments suggérés par le public (un thème, une situation, le nom d’un chanteur…) Thomas Boissy invente en direct des paroles pour un spectacle interactif bluffant. Tout public.
Le lyrique s’invite à l’exposition Plurielle
Depuis plusieurs années, nous connaissons l’expo Plurielle qui se tient traditionnellement dans les galeries du château de Fumel. Expo Plurielle car on peut y trouver plusieurs expressions d’art plastique : peinture, sculpture, émaux… Depuis ses débuts, ce rendez-vous annuel sert les mêmes objectifs : favoriser la création, offrir une vitrine aux artistes du Fumélois et d’ailleurs et proposer aux Fumélois un événement culturel qui les amène à s’ouvrir à d’autres horizons. Cette édition 2015 a réussi le tour de force d’être encore plus plurielle que les précédentes en rajoutant un art supplémentaire. En effet, le vernissage de l’exposition elle-même a été précédé d’un miniconcert d’art lyrique. Dans la salle des mariages de la mairie, la soprano Hannah Guo Zhi Min, accompagnée au piano par Fabien Prou, a interprété plusieurs airs du répertoire classique ainsi que deux airs de la musique populaire chinoise, pour le plus grand bonheur de l’auditoire. La présence de cette cantatrice, installée à Monflanquin, était doublement justifiée car non seulement elle chante, ce qui est plutôt normal pour une cantatrice, mais elle est également sculpteuse. Ensuite, élus, amateurs d’art et artistes ont descendu le grand escalier qui conduit au jardin pour rejoindre les galeries qui, en l’occurrence, méritent deux fois leur nom : galeries architecturales et galeries de peintures. Cette année, le prix de la mairie de Fumel, d’un montant de 100 €, a été attribué à Christian de Grenier pour son tableau «Abstractions». Originaire de Carcassonne, l’artiste habite Condat depuis déjà plusieurs années.
Exposition ouverte jusqu’au 31 mai, dans les galeries du château de Fumel, du lundi au samedi de 15 heures à 19 heures, et le dimanche, de 10 heures à 12 heures et de 15 heures à 19 heures. Entrée gratuite.
Bibliothèque : les contes du mercredi
La bibliothèque de Fumel vous donne rendez-vous mercredi 20 mai, à 15 h 30, en compagnie de Jean-Pierre Avinent pour son spectacle «Buffet de contes de Monsieur Jean-Pierre». Cette animation s’adresse aussi bien aux petits qu’aux grands qui sont invités à venir «déguster» des contes tout en couleurs et en courbes. Des histoires et des images qui s’entremêlent. La couleur qui se prend aux mots, les mots aux pinceaux. Jean-Pierre Avinent (voix, mandoline, tambour, flûte…) sera accompagné par Léa Dingreville (pinceaux, couleurs et autres ustensiles…).Un spectacle familial pour les petites et grandes oreilles. Animation gratuite et ouverte à tous. Pour en connaître un peu plus sur ce conteur qui va accompagner la bibliothèque tout au long de l’année, n’hésitez pas à visiter son site à l’adresse suivante : http ://jeanpierre-avinent-conteur.eklablog.com/
Le parcours du festayre !
Dans quatre jours, le coup d’envoi des fêtes de Nérac sera donné lorsque le maire de Nérac Nicolas Lacombe remettra les clés de la ville au président du comité des fêtes. Quatre jours d’animations, de liesse, de fête et de joie dans les rues de la cité d’Albret. «La Dépêche du Midi» dresse un parcours (non exhautif) des endroits où les festayres pourront se retrouver*.
Bodega fiesta rugby.– L’incontournable des fêtes ! Elle sera comme chaque année place des courses. Sous chapiteau, les joueurs de l’USN attendent les festayres, de jeudi à samedi soir, de 20h à 3h30. La bodega du comité.- Cette année, direction l’espace d’Albret. Du zinc à volonté pour trinquer entre amis, de la musique pour tous les styles et une restauration pour tenir jusqu’au bout de la nuit.
L’escadron volant.- Toute l’équipe dynamique autour de son boss emblématique propose des formules repas pour prolonger la fête autour de l’assiette. Nouveauté : ses tripettes à l’armagnac. ! Un endroit idéal pour admirer le feu d’artifice.
Bodega Nerac Son.– Nouvelle venue dans le tissu festif, «Nerac Son» qui organisera un concert rock en juillet participe à ces fêtes avec sa bodega à la capitainerie avec soirées à thèmes. fiesta…
Le Gambetta.- Entre gastronomie et fêtes, un lieu à apprécier. Des thématiques comme axoa de veau le jeudi soir, tripettes le samedi avec concert des Histoires d’A. Ouvert aussi le dimanche soir.
Au concert.- Première fête pour Bernard Vilatte et son équipe. Apéro concert, animation banda… il y en aura pour tous les gouts et tous les jours !
Discothèque Le Virus.- Située boulevard Darlan, sera ouverte durant trois jours jusqu’à 6h et en mode feria !
* Nous avons mentionné que les établissements qui ont fait la démarche de faire connaître leurs animations.
Le château de Bonaguil vu par Alain Etchepare
De notre correspondant local, Michel Rouquet
La Dépêche du Midi
Opération «Punk sur la ville»
La Dépêche du Midi
Music’All présente «Mystère Bohème»
Publié le 07/03/2015
La Dépêche du Midi
Les cafés Alzheimer aident les familles
Publié le 27/02/2015
La Dépêche du Midi
Ludothèque : on a fêté carnaval
Publié le 02/03/2015
La Dépêche du Midi
«Le Grand Show des petites choses» en exposition
Publié le 01/03/2015
La Dépêche du Midi
Demain, tous au «Bal des Barbillons»
Publié le 19/02/2015
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Récompenses pour les maisons fleuries
Publié le 11/02/2015
La Dépêche du Midi
Pavillon 108 : Du hip-hop au programme
Publié le 10/02/2015
La Dépêche du Midi
Concert hip-hop au Pavillon 108
Publié le 03/02/2015
La Dépêche du Midi
Ambiance familiale pour les vœux au personnel municipal
Publié le 26/01/2015
De notre correspondant Michel Rouquet
La Dépêche du Midi
Mécénat pour un pont-levis à Bonaguil
Publié le 21/12/2014
La Dépêche du Midi
Les enfants ont participé aux décorations de Noël
Publié le 08/12/2014
La Dépêche du Midi
Plein d’animations en attendant Noël
Publié le 04/12/2014
La Dépêche du Midi
Un «P’tit-dej lecture» à la bibliothèque
Publié le 01/12/2014
La Dépêche du Midi
Marionnettes et opéra au centre culturel
Publié le 19/11/2014
Aujourd’hui mercredi 19 novembre, à 14 h 30, au centre culturel, sera donné «Opéra Vinyl», spectacle pour tous à partir de 3 ans, qui allie jeux de marionnettes et airs d’opéra. Un marionnettiste placé devant cinq platines, véritable DJ, orchestre les éléments de décor, la musique, les personnages. «Il est 6 heures du matin, un petit air frais s’échappe d’une maison, c’est un chant clair qui nous ravit… C’est l’histoire d’une voix qui se perd, l’histoire des mots qui nous échappent, une histoire d’amour avec un grand A entre une diva et un barbier, le tout sur des airs de Rossini, Verdi, Mozart…».
Billetterie à l’office de tourisme Fumel-vallée du Lot : tél. 05 53 71 13 70. Tarifs de 4 à 9 €; forfait famille, 18 €.
La Dépêche du Midi