Les coordonnées
06.87.37.81.12
jean.rocher@neuf.fr
Disponible sur facebook : janouille
Présentation
SPECTACLES, ANIMATIONS,
CHANT ET MUSIQUE DU MOYEN-ÂGE
Féru d’histoire, je peux vous faire une représentation de votre ville ou de votre village. Mon discours s’adaptera selon les lieux et le public. Les histoires de Janouille s’appuient sur les récits anciens ou nouveaux des historiens locaux.
Fils naturel du Bon Roi Henri 4, je peux aller sur les traces de mon père partout en France ou en Navarre. Si vous souhaitez que je vous raconte mes histoires, à domicile, dans votre école…tout est possible! Bonne idée pour une animation pour Comité d’entreprise ou écoles, mon sac ne désemplit pas de contes, légendes et chants du moyen-âge que j’adapte pour petits et grands. Seul ou accompagné d’un groupe musical, je me ferai un devoir de vous satisfaire!
Vous avez pu déjà me voir animer dans les régions d’Aquitaine et Midi Pyrénées : la Gabarre de Fumel sur le Lot, de Val de Garonne sur le canal latéral à la Garonne « sur les traces de Pierre-Paul Riquet », les sentiers de Bonaguil, les villages de Pujols, Penne d’Agenais, Nérac… Les bastides de Villeréal, Villeneuve sur Lot… Puy l’Évêque et divers châteaux dont celui de Cénevières, près de Saint-Cirq Lapopie.
Hors département, à Carcassonne, Lyon, Bordeaux, etc…
Et bien sûr…
La bastide de Monflanquin en Lot et Garonne!
Janouille, le fils caché du bon Roi Henri, devenu historien amuseur assure sur Monflanquin la visite de la bastide les mercredis à 11 heures, jeudis à 16 h 30 (6, 50 €).
L’année de ses 20 ans Janouille reste bien la figure emblématique de la bastide monflanquinoise d’où il est originaire et qu’il affectionne tout particulièrement !
BILAN de l’activité de Janouille pendant l’été 2015
Sortie du livre »Janouille, le bastard du Roi, Henri IV »,Ce livre est une traduction littéraire des interventions deJANOUILLE dans ses promenades commentées, au cours desquelles il se laisse entraîner par ses dons de conteur spontané et utilise toutes les ressources de l’instantané, à partir d’une trame très souple. On peut y distinguer cependant plusieurs thèmes qui forment l’ossature du récit : celui de la vie d’Henri IV, le « papa » du conteur, dans les années où le chef des huguenots est en train de conquérir son futur royaume jusqu’à son assassinat. Il aborde la vie de tous les jours dans la bastide de Monflanquin au XVIème siècle, ainsi qu’une série de contes traditionnels empruntés, les uns à la tradition gasconne, les autres à divers folklores, certains suscitant la peur moyenâgeuse de l’inconnu monstrueux, d’autres au contraire versant dans la tentation des récits pittoresques et quelque peu gaillards. L’ensemble possède cependant une unité fondamentale : faire revivre une réalité bien oubliée aujourd’hui, celle d’un pays qui possédait sa propre langue, son mode de vie particulier, ses villages déjà libérés de la tutelle seigneuriale par la volonté royale, et ses « troubadours » dont l’auteur nous démontre chaque jour davantage le rôle éminent qu’ils jouaient dans la transmission d’une civilisation romane spécifique. Revue de Presse Surpris par notre objectif avec un groupe de jeunes écoliers (venus de Cauterets en séjour découverte), Janouille était en costume pour assurer une visite de la bastide, avec un accessoire supplémentaire, une écharpe d’époque médiévale (bien sûr !) soutenant son bras droit… et quand même son sourire légendaire aux lèvres ! Et c’est avec humour qu’il déclara «avoir chu lundi dernier, verdict fracture du radius, opération le mercredi avec trois broches, immobilisation de 45 jours et malgré cela, Janouille honore tous ces contrats prévus ces jours-ci avec un groupe de 60 personnes venues de Pujols, un groupe de 50 personnes souhaitant visiter la bastide, puis Lectoure avec un de ses spectacles «Janouille raconte de la poule au pot à la poule au pieu au temps d’Henri IV», et ensuite Vergt en Dordogne avec un groupe local… Car, résume-t-il, un comédien ne peut se permettre de s’arrêter ! «Malgré cette épreuve, notre Janouille «presque national» garde le moral, ne souffre pas trop dit-il et continue courageusement son travail de bouffon du Roi et guide médiéval. On lui souhaite une bonne dose de patience car le plâtre restera en place encore quelques semaines… pour aller vers un prompt rétablissement. On le voit souvent Janouille dans les carrérots et placettes de Monflanquin car ce personnage atypique assure de nombreuses visites commentées et animées de la bastide. Les groupes scolaires ne manquent pas de venir à sa rencontre, des cars de visiteurs le retrouvent régulièrement pour des visites réservées et malgré cette notoriété impressionnante Janouille reste zen, il ne prend pas la grosse tête et reste fort accessible. Durant ces vacances de printemps, il a repris les visites de la bastide le mercredi, à 11 heures, et du château de Roquefère. Bien que Monflanquinois au départ de «sa vie d’artiste», Janouille circule beaucoup en Lot-et-Garonne pour raconter à sa façon l’histoire locale de bastides et villes diverses : Marmande, Nérac, Castillonnès, Le Temple-sur-Lot, Fumélois, Villeneuve… et sa présumée présence depuis des siècles dans ce patrimoine local. Et ça marche, la magie du personnage agit parfaitement ! Il a des talents de narrateur, de comédien, à l’occasion il utilise la chanson médiévale. Il est devenu aussi auteur en écrivant un ouvrage sur sa vie ainsi qu’une BD sur l’histoire de Monflanquin avec le dessinateur Serge Faval. Il reçoit régulièrement des groupes d’enfants et jeunes pour des ateliers dits «médiévaux» sur une journée. Il peaufine actuellement ses spectacles estivaux qu’il jouera à 3 reprises à Monflanquin et ce sera «Les Mousquetaires» ; à Castillonnès à 2 reprises «La Bastide franco-anglaise» ; à Marmande 2 soirs «Marmande médiévale» et au Temple-sur-Lot 1 fois «Sur les traces des Templiers». Janouille voyage beaucoup et, dernièrement, il est allé dans les studios parisiens de TF1, invité par Nicolas Ruelle qui assure la rédaction en chef pour le 13 heures, et il y a retrouvé ses amis de la rédaction ! «Ripailleries» inoubliables avec les Amis de Janouille Un dimanche, non pas au bord de l’eau, mais aux abords du château de Roquefère, voilà ce qui était proposé par l’association créée autour de Janouille ces derniers jours. Il y avait un cochon cuit à la broche pendant plus de 7 heures et de fort bonnes choses préparées par les uns, les unes et les autres afin de proposer un excellent menu «à la médiévale» ! Le groupe local «Temps’Clar» et l’ami Janouille la Fripouille de Petit Rousset ont chanté des morceaux anciens, joué de leurs instruments avec talent mettant ainsi une ambiance bien agréable et bon enfant ! Dans l’après-midi, il a même été possible de visiter le château de Roquefère puisque ce jour-là était aussi consacré au patrimoine ! Janouille, alias Jean Rocher, a été très applaudi et remercié de savoir animer si bien la bastide deMonflanquin et bien d’autres aussi du département ; l’essentiel étant qu’il ne soit pas kidnappé par une autre commune qui voudrait garder pour elle seule ce personnage si attachant et plein de truculence ! Si cela arrivait, le peuple de chez nous prendrait les serpes et les faux et se révolterait vite fait, na !
Janouille, guide-troubadour Janouille, troubadour des temps modernes, revient au bourg médiéval de Penne pour une visite historique et ludique de la cité. Il raconte Aliénor d’Aquitaine, Richard Cœur de Lion qui fit construire le château et les remparts, la croisade contre les hérétiques cathares, la guerre de Cent Ans, Blaise de Montluc, le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, etc. La prochaine visite animée par Janouille se déroulera le jeudi 6 août. Rendez-vous à 21 heures devant l’office de tourisme. Pour tous renseignements : Office de tourisme, tél. 05 53 41 37 80 (tarifs: adultes 5€, enfants 2,50€). Janouille une dernière fois sur les traces de son père Il est des balades néracaises qu’il ne faut point manquer. Celle proposée par Janouille que l’on peut croiser aussi à Monflanquin, Penne-d’Agenais ou Villeneuve-sur-Lot, vaut très certainement le détour pour mieux appréhender les vestiges historiques de la cité d’Albret. Durant ce circuit découverte, Janouille raconte l’histoire de son père né à Pau, Henri de Navarre, futur Henri IV. Son histoire est intimement liée à celle de la famille d’Albret, Marguerite d’Angoulême, sa grand-mère, sa mère, Jeanne d’Albret et bien sûr la Reine Margot, sa femme.
Suivez le guide et ses troubadours Durant une heure et demie, Janouille emmène les touristes à travers le quartier historique deNérac pour découvrir la maison des conférences, l’église, le pont vieux de la Baïse et bien d’autres choses encore. Une visite guidée aux flambeaux où l’humour et la détermination de ce personnage se révèlent à leur firmament de la première à la dernière minute de la visite. Bien entendu, les touristes sont mis à contribution.Avant de prendre leur bâton de pèlerin et de sillonner la ville, Janouille accompagné de son fidèle tambourin «customise» quelques volontaires des habits et des coiffes d’antan. Cela vaut bien quelques selfies pour les réseaux sociaux, pour mieux immortaliser l’époque médiévale.Tout au long de la visite, ils joueront le rôle des personnages contés par Janouille. Des anecdotes sont livrées aux touristes à chaque monument visités. Une visite aussi musicale puisque Janouille est accompagné des troubadours de la compagnie «Déjantas». Ces musiciens permettent de faire découvrir un répertoire musical médiéval, apprécié des vacanciers.Départ de la visite, ce soir à partir de 21 heures sur le parvis du château. Renseignements à la Galerie des tanneries, rue du Prieuré à Nérac ou en téléphonant au 05 53 97 01 45. Janouille enchante ses publics Beaucoup de monde à la dernière visite en nocturne de Janouille./Photo DDM. Marie-Paule Rabez.
Ils attendent devant l’office de tourisme de la bastide, impatients, un brin chahuteurs pour les enfants et bavards pour les adultes, et d’un coup, tout s’arrête lorsque des clochettes se font entendre… Mais qu’est-ce que c’est ce bruit ? Au coin des Arcades, arrive LE personnage atypique Janouille avec chaussures d’antan tintant joyeusement, lançant sur son chemin des «adissias ! adissias !». Les visiteurs impatients s’agglutinent autour de lui et la visite commence sur le Cap del Pech : «Bonjour, je suis Janouille, le fils bâtard du bon Roi… ? Et de ma maman qui s’appelle… ?».Le public répond parfois comme il faut et souvent à côté, ce qui déclenche toujours une hilarité générale ! Janouille distribue les rôles, sortant de son sac des accessoires permettant d’identifier les principaux personnages de sa longue vie, sa naissance remontant à plusieurs siècles ! Et ça marche, ça marche très fort, les visiteurs rient, applaudissent, font crépiter les flashs et le cortège des beaux jours emboîte les pas de la vedette de Monflanquin. Deuxième étape devant l’église où ses compagnons en costumes interprètent des morceaux médiévaux avec talent.Et l’on repart ainsi sur d’autres étapes en suivant le personnage du Moyen-Âge, en plaisantant et bavardant et le visiteur chargé de faire claquer les sabots d’un cheval imaginaire ! C’est parti pour une bonne heure avec plein de surprises et d’anecdotes plus intéressantes et amusantes les unes que les autres.
Cette année, les visites en nocturne de Janouille sont gratuites car offertes par la municipalité nouvelle. Réservations/renseignements office de tourisme tél.05 53 36 40 19. Janouille captive son auditoire Janouille et ses histoires captivent toujours autant le public./H. Maurel
Régulièrement, Janouille revient dans le village de Penne-d’Agenais afin de raconter l’histoire d’Aliénor d’Aquitaine et son fils Richard Cœur de Lion qui fit construire le château et les remparts, à la fin du XIIe siècle. Penne eut aussi à souffrir de la croisade contre les hérétiques cathares et est placée sur l’un des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Mais Janouille sait mêler avec habileté et dextérité les moments graves avec ceux plus légers. Il les aborde tout en entraînant les visiteurs à travers les rues du village médiéval de Penne, de la place Aliénor, en passant par les rues de Ferracap, de Peyragude, de Notre-Dame, jusqu’au parvis du sanctuaire de Notre-Dame-de-Peyragude. Une façon divertissante de découvrir le bourg médiéval par une belle soirée d’été. Une promenade drôle et distrayante, très appréciée autant par les touristes que les gens du cru. L’ami Janouille souffle vingt bougies ! Publié le 03/08/2014 L’ami Janouille souffle vingt bougies !
Monflanquin, Nérac, Villeneuve-sur-Lot, Penne-d’Agenais, etc., Jean Rocher, alias Janouille, vadrouille dans tout le département. En rouge et blanc. Il est le guide le plus connu du Lot-et-Garonne. Depuis 20 ans.
Rouge et blanc. Plus qu’un code de couleur, une véritable marque de fabrique. Janouille, Jean Rocher dans la vie, est un comédien professionnel pas comme les autres. Il porte sa tenue médiévale, sillonne le Lot-et-Garonne et transporte ainsi le public (des dizaines de milliers de personnes) dans une époque médiévale ou Renaissance.De Monflanquin à Nérac en passant par Villeneuve-sur-Lot, ses visites sont toujours ludiques et interactives. Guide-bouffon, accompagné parfois par des troubadours, il raconte le patrimoine comme personne. C’est truffé d’anecdotes, de sourires et de légèreté. Tout le monde adhère. Le personnage de Janouille est né en 1994. À Monflanquin. Grâce à une légende locale délivrée par une vieille dame décédée depuis. Elle la tenait de son grand-père… «L’histoire, explique Jean Rocher, est celle d’un fils caché qui a voulu partir à la rencontre de son père, le célèbre Henri IV, à Paris. Le petit arrive au château du Louvre, les gardes ne croyant pas à son histoire vont le jeter en prison. Une colombe, qui tient dans son bec la clé du cachot, l’aide à s’enfuir. Il se libère et repart bredouille à Monflanquin».C’est ainsi que naît Janouille, fils bastard du Bon Roi Henri IV, au temps où il n’était que roi de Navarre.Depuis son château de Nérac, le Bon Roi voyageait beaucoup et, on le sait, avait des relations amoureuses sur Monflanquin, notamment avec Germaine, la Dame de Bennet, avec qui il a eu un fils en 1576 : Janouille. Jean l’incarne depuis 20 ans. Et le dimanche 29 juin, l’association «Les Amis de Janouille» a organisé dans la bastide médiévale de Monflanquin une journée pour fêter ce 20e anniversaire. Un moment festif pour lancer l’été de Janouille. l www.janouille.com
Quand Janouille et Jean Rocher se font face… Janouille et Jean Rocher se sont amusés à l’autoportrait croisé./Photomontage DDM, F.P.
Cela fait déjà 20 ans que Janouille sillonne les bastides et villages du département et Jean Rocher fêtera cet anniversaire dimanche 29 juin sur les hauteurs de Monflanquin. Il fallait bien qu’un jour, les deux se rencontrent. Il fait chaud sur la place centrale de Monflanquin, mais cela n’empêche pas Jean Rocher d’arriver à vélo, «électrique malgré tout, toutes les routes montent ici». Quand il part en spectacle dans la bastide du Prince Noir, Jean Rocher observe le même rituel. «Je quitte ma campagne à vélo pour me diriger vers mon théâtre, Monflanquin, et pendant ce trajet, je me fonds dans la peau du personnage de Janouille». Janouille, fils bâtard du roi Henri IV suivant la légende maintenant bien établie et qui depuis 20 ans traîne ses guêtres de Paris aux bastides du Lot-et-Garonne. Jean Rocher et Janouille, un couple improbable, «au départ peu de monde croyait en nous», mais qui au fil des années a su s’imposer dans l’imaginaire local. Il était donc grand temps que chacun explique ses rapports avec l’autre. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Jean Rocher. Je suis arrivé ici en 1985, des projets plein la tête. De rencontres en recherches, j’ai découvert l’histoire locale et Janouille s’est imposé de lui-même. Janouille. Jean a rencontré une dame de 96 ans, et dans les histoires qu’elle lui a racontées, il a su m’y trouver. Qu’est-ce que chacun apporte à l’autre ? J. J’ai apporté à Jean la fantaisie qu’il n’avait pas. Grâce à moi, il est entré dans le folklore et les histoires locales. Il s’est ouvert à tous les publics. J. R. J’amène à Janouille tout le sérieux dont il a besoin pour enchanter le public. Je fais les recherches, je travaille et toutes ces histoires, je les lui transmets. Et l’avenir ? J.R. Janouille a encore de belles années devant lui. Il va devoir élargir son cercle de pérégrinations et continuer sa mission d’animation et de découverte du territoire. J. Je suis sûr que Jean va avoir de plus en plus de travaux de recherches à effectuer. Pour chaque nouvel endroit que je m’approprie, il lui faut faire une bonne année de recherches dans les archives, les bibliothèques ou chez les gens. Et en plus, il aime le faire. Un dimanche d’animations En 2010, l’association «Les Amis de Janouille» est créée et ce sont les 30 membres qui sont charge de l’anniversaire. «Ce rassemblement se veut festif, mais aussi historique. Sont invités les 250 compagnons de route qui l’ont accompagné depuis 20 ans et des célébrités pour évoquer les mille et une façons de raconter l’histoire au temps d’Henri IV, par le théâtre, le cinéma, le conte, le raconte, la musique…». De spectacles de rue en concours de poule au pot en passant par des jeux médiévaux, la journée débutera à 10 h 30 dans la salle des Consuls.
Monflanquin. La bastide dans les médias grâce à Janouille
Monflanquin. Janouille prépare son anniversaire
La Dépêche du Midi
Janouille, le guide du patrimoine qu’on ne présente plus, empoigne sa plume d’oie pour nous conter par écrit de bien belles histoires, pas toujours rieuses d’ailleurs, du temps du bon roi Henri IV.Bien entendu, elles ne sont pas toutes très joyeuses ces anecdotes du temps du roi Henri IV. Certaines sont même franchement tristes. Mais l’Histoire n’a jamais été bien rose. Jean Rocher, dit Janouille, a entamé sa carrière de narrateur historique il y a vingt ans. L’anniversaire donnera lieu, le 29 juin à Monflanquin, à une grande fête dont nous vous reparlerons. En 2001, et après sept années de service à Monflanquin, devant l’insistance des personnes rencontrées à la faveur de promenades guidées, il décide d’écrire un premier ouvrage : «Les Aventures de Janouille au pays des bastides». Quelques années ont passé et de nouvelles légendes sont venues enrichir celles déjà racontées. «Toutes ces histoires, je les ai captées auprès des gens. Tout est parti du jour où une vieille dame m’a parlé du fils bâtard d’Henri IV. Je tenais mon personnage et l’envie de raconter toutes sortes de récits. J’écoute beaucoup les locaux et aussi les historiens qui me renseignent avant une balade ; c’est important d’avoir ces références».
Une petite histoire… Et Janouille de ne pas résister à l’envie de nous conter un épisode de la vie de Diane de Poitiers, maîtresse d’Henri II : «Elle avait hérité du Pech de Monfabès. L’on disait que dans le gouffre de ce domaine poussait une fleur merveilleuse qu’il fallait cueillir aux douze coups de minuit, le jour de la Saint-Sylvestre. Bien des braves y avaient trouvé la mort. Un de ses pages décida de tenter sa chance. Il partit de Paris et arriva au Pech de Monfabès le soir du 31 décembre. Avec l’aide des villageois, il descendit dans le gouffre, tenu par une longue corde, au premier coup de minuit. Mais au dixième, il descendait encore, n’ayant point atteint l’endroit où cette fleur était supposée pousser. Au douzième, les villageois entendirent un grand bruit et virent la fleur transformée en monstre monter des profondeurs et bouter le page hors du gouffre avec une telle violence qu’il en mourut. Diane de Poitiers, tellement peinée, reboucha le gouffre». Triste fin. «Nul ne sait si cette histoire est vraie ! Quelqu’un peut-être un jour va rouvrir ce gouffre… à ses risques et périls !» «Janouille, le fils bâtard du roi Henri IV» est disponible dans toutes les librairies. C.D.V.
Nérac. Son papa de roi doit être fier de Janouille
aux éditions les livres de l’îlot Les Néracais et les touristes s’arrêtent à Nérac le connaissent bien, puisque, chaque été, Janouille, le fils illégitime d’Henri IV, et ses ménestrels, les Déjantas, les entraînent à travers une visite de la ville. Ces visites restent inoubliables tellement elles sont parsemées d’anecdotes qui obligent le visiteur à se souvenir de l’histoire de la capitale de l’Albret. Si Catherine de Médicis, la belle-mère d’Henri IV, l’avait connu, elle l’aurait sûrement fait assassiner ou lui aurait confié la sécurité de l’Escadron volant; si Henri IV l’avait reconnu, il en aurait fait le roi de la langue françoise ou tout simplement son fou… du roi.Un bouffon, comme on dit encore aujourd’hui. Mais il ne serait sûrement pas passé inaperçu. Le «pôvre» n’a pas eu cette chance. Le bon roi Henri l’a ignoré. Pas rancunier, Janouille, encore aujourd’hui, au XXIe siècle, fait l’éloge de son papa Henri IV et de la cour de Nérac. Aussi, à travers ses délires contés et ses spectacles, Janouille ne pouvait qu’imaginer faire passer à la postérité ce personnage. Jean Rocher, l’inventeur de Janouille, a su saisir l’opportunité de créer un personnage plus vrai que nature. Le plus extraordinaire, c’est qu’il a su le rendre pérenne et indispensable dans le paysage du sud-ouest de la France. Monflanquin est sa forteresse, Nérac est devenu l’attache paternelle de Janouille. Cent pages de bonheur Le 29 juin 2014, Janouille la Fripouille fêtera ses 20 ans. Cet anniversaire ne passera pas inaperçu. Aussi, en ce début d’année 2014, quoi de plus naturel que d’accueillir la sortie du livre «Janouille, le bastard du roi Henri IV», aux éditions Les Livres de l’Ilot, signé Jean Rocher, adapté par Mario Graneri-Clavé, préfacé par Pierre Bellemare et soutenu par le conseil général 47. Ce sont 120 pages de bonheur que le lecteur aura plaisir à feuilleter pour y apprendre le parcours de Janouille et l’histoire de Villeneuve, de Monflanquin ou encore de Nérac. Des photos agrémentent l’ouvrage ainsi que quelques articles parus dans la presse régionale. Rien n’a été oublié, c’est un bel outil de communication pour souffler 20 bougies. Le livre est en vente 13 € à la Maison de la presse de Nérac. Janouille dédicacer le 15 février, à la Maison de la presse de Marmande, de 15h à 17h, et le 1ermars ,au Vizir à Villeneuve-sur-Lot, de 15h à 17h. A quand une dédicace à Nérac pour dire que «Janouille escrivut un libi sortit adara»? http://www.janouille.com la dépêche du midi /Cathy Montaut
Penne-d’Agenais. Janouille la fripouille dédicace son livre C’est en 1994 que Jean Rocher crée Janouille la Fripouille – fils bâtard d’Henri IV – à partir d’une légende locale. En été, on peut suivre ce personnage haut en couleur en balade dans les cités médiévales du Sud-Ouest où il promène les touristes à la découverte des trésors des bastides ; «des promenades fantaisistes et pittoresques, où la grande Histoire se mêle aux contes et aux récits pimentés d’un soupçon de gaillardise». Janouille vient régulièrement dans le vieux bourg de Penne raconter l’histoire d’Aliénor d’Aquitaine et son fils Richard Cœur de Lion qui fit construire le château et les remparts, à la fin du XIIe siècle. Chaussé de ses poulaines de cuir, de son costume «rouge et blanc», précédé par le son des grelots qui ornent son vêtement, Jean Rocher dit Janouille est venu fouler les allées d’Echoppes en Fête à Penne d’Agenais où il a dédicacé son livre : «Janouille, le bastard du Roi Henri IV». Préfacé par Pierre Bellemare, ce livre est une traduction littéraire des interventions de Janouille dans ses promenades commentées, au cours desquelles il se laisse entraîner par ses dons de conteur spontané et utilise toutes les ressources de l’instantané. Ce livre est en vente à l’office de tourisme de Penne- d’Agenais. La Dépêche du Midi «Janouille fêtera ses 20 ans au mois de juin 2014 !». Et il y aura fête dans la bastide de Monflanquin. «Avec un concours de poule au pot ouvert aux particuliers qui seront départagés par Michel Trama lui-même.» La fête sera surtout l’occasion de rassembler des «spécialistes» venus pour des causeries «sur l’histoire et la manière de la raconter.» Pierre Bellemare parlera du mystère de la tête du roi Henri. Le «Perceval» de la série «Kaamelot» racontera la manière (très) décalée de faire revivre la légende du Roi Arthur et Mathieu Gallet qui a dépoussiéré les archives de l’INA présentera un documentaire de Stellio Lorenzi (un grand monsieur de l’ORTF) sur le «Mystère de la mort d’Henri IV». Enfin, un criminologue, Jean-Pierre Bouchard parlera lui de Ravaillac. Et Janouille parlera de… Janouille. Ou plutôt Jean Rocher parlera de Janouille, c’est autre lui-même, qu’il connaît par cœur puisqu’il lui a donné le jour en 1994 ! Il y a presque 20 ans… «Janouille sait comme personne entraîner les spectateurs dans des promenades fantaisistes et pittoresques où la grande histoire se mêle aux contes et aux récits pimentés d’un soupçon de gaillardise.» Depuis 20 ans, Janouille, de Monflanquin à Nérac, de Villeneuve à Barbaste, guide touristes et indigènes dans les tourments et les ressorts de l’histoire du Lot-et-Garonne. Il fallait bien que ces récits, cette oralité, deviennent un livre. C’est chose faite depuis une semaine. «Janouille, le bastard du roi Henri IV» est disponible dans toutes les bonnes librairies, préfacé par Pierre Bellemare.
«Janouille, le bastard du roi Henri IV», aux éditions «Les livres de l’Ilot». La Dépêche du Midi
Villeneuve-sur-Lot. La très belle saison de Janouille
Les représentations de Janouille séduisent à chaque fois un nombreux public./Photo DDM, archives J.F. En 1994, Jean Rocher décide de créer Janouille à partir d’une légende locale. Il est le fils bâtard du bon roi Henri IV, au temps où il n’était que roi de Navarre. Depuis son château de Nérac, il voyageait beaucoup et avait des relations sur Monflanquin, dont Germaine, la dame de Bonnet, avec qui il a eu Janouille. Janouille est né, certes, en 1576, mais il peut raconter l’histoire médiévale qu’il a apprise de ses ancêtres et aussi de l’actualité, puisqu’il vit au XXIe siècle. Son «raconte» s’appuie sur les écrits des écrivains et historiens. Il brode à sa manière, selon le public, afin que tous, petits et grands, érudits ou moins, puissent repartir avec dans la tête un souvenir inoubliable. Comme chaque été, les touristes et les Lot-et-Garonnais ont retrouvé Janouille à Villeneuve-sur-Lot, à Nérac, à Penne-d’Agenais, à Monflanquin, etc. Et le public est toujours au rendez-vous. «La meilleure surprise est venue de Villeneuve-sur-Lot. Les années précédentes, les spectacles se donnaient rendez-vous à 21 heures, explique Jean Rocher. Cette année, c’était à 17 heures. Malgré cet horaire, les spectateurs étaient nombreux, avec une participation de plus de 150 personnes par représentation !». Dans la bastide, Janouille a séduit le public. Preuve en a encore été donnée lors de «Bastide en fête», le dimanche après-midi, où beaucoup d’adultes et d’enfants l’ont suivi pour une nouvelle plongée dans son histoire, dans celle de la bastide, de la Reine Margot… À Nérac, la fréquentation est en hausse par rapport à l’an passé, avec une moyenne de 120 personnes par représentation. Pour la première à Vianne, plus de 100 personnes à chacune des deux représentations. A Barbaste, 120 personnes par spectacle, en étroite collaboration avec le chantier de jeunes international qui restaurait le lavoir. La seule représentation à Penne-d’Agenais, en nocturne, avec le troubadour Pasco et la fileuse de laine Céline a attiré 80 personnes. À Marmande, la seule représentation aussi avec les troubadours Sergio, Pasco et Daniel a rassemblé près de 300 personnes ! Les balades habituelles à Monflanquin, sur deux mois, ont drainé 1 560 personnes, un peu moins qu’en 2012 (1 690 personnes). Cette année, Janouille s’est déplacé en Quercy, avec deux représentations en nocturne à Puy-l’Evêque, accompagné des troubadours. Une très belle réussite avec une affluence de 80 à 100 personnes par représentation. Le 15 août, Janouille était invité à Bidache, au Pays basque, pour raconter la famille de Gramont et Corisande, une des maîtresses influentes d’Henri IV. Au total Janouille a joué devant plus de 4 350 personnes (4 250 en 2012) cet été 2013. La Dépêche du Midi
Janouille en vadrouille Jean Rocher, allias Janouille, guide haut en couleurs et néanmoins parfaitement documenté sur l’histoire des châteaux et bastides du Lot-et-Garonne, multiplie les interventions cet été : cinq jours par semaine, il fait faire un tour de son village, Monflanquin (le mardi et jeudi, aux flambeaux), mais on le retrouve aussi à Nérac, Villeneuve-sur-Lot, Barbaste, Penne d’Agenais ou à Puy-l’Evêque (Lot). Dates sur www.janouille.com La Dépêche du Midi
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