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Mairie de Lavardac
Adresse:
53 av Gén De Gaulle
Lavardac
47230

E-mail: contact@ville-lavardac.fr
Téléphone: 05 53 97 41 51
Fax: 05 53 97 41 50

Information: Horaires d’ouverture :
Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h.

 

Historique de Lavardac

LavardacLa petite cité de Lavardac a été installée à 6 kilomètres de Nérac et à une trentaine de kilomètres d’Agen, dans une zone située à égale distance de Bordeaux et Toulouse. La forêt landaise est à ses portes.

La commune s’étend sur les rives de la Bäise. La rivière y dessine un axe fluvial particulièrement encaissé et fort pittoresque, que vous aurez plaisir à découvrir.

Le nom

L‘origine du nom de la ville est obscure. Le nom viendrait, comme dit le dictionnaire étymologique, du mot celte » warda » qui signifie « garde ». On le retrouve dans Lavarde, forme normande de « la garde » qui est un nom de hameau de la Manche. « Garde » désigne d’abord le lieu qui monte la garde, puis le nom désigne le poste de garde. « Gardat » est le dérivé latin. Lavardac garde le passage sur la Baïse, le protège. Le lieu, bien situé sur la rivière, encadré par des hauteurs tranchées par les vallées de petits affluents a dû être transformé en lieu d’exploitation rurale. On l’a protégé par des tranchées, des palissades.

Une des premières mentions du nom de la petite ville est trouvée dans une bulle du pape Célestin III qui date de 1197. On y parle du prieuré de Saint Caprais. Les formes Lavardaco, Levardaco, Lavardaka, Lavardacum se retrouvent dans les « Rôles Gascons », à la fin du XIII° siècle. L’orthographe Lavardac prédomine dès le XIV° siècle, même si l’on trouve encore Labardac ou Lavardat à cette époque.

Les noms des villages ou lieux-dits de la commune prouvent l’ancienneté de l’habitat local, comme celui d’Estussan (« le fonds de Tuscius »).

Une ville au carrefour des voies de communication

L’histoire de Lavardac est liée au cours des âges, à sa situation privilégiée au carrefour des voies de communication, cette partie de la vallée a toujours fonctionné en relation avec la Baïse, et la vallée de la Garonne. L’arrière-pays et même les régions gersoises ont joué aussi un rôle majeur.

Les routes du Gers ont apporté à Lavardac le blé, l’armagnac, et d’autres produits, dont certains partaient vers Bordeaux et la lointaine Amérique, par bateau.
La voie ferrée a laissé ses marques dans le paysage et s’est chargé de transporter les produits pondéreux, comme le maïs ou le sable.

Les axes de communication ont toujours été le point fort de Lavardac qui s’est révélé un véritable nœud de communication.

Commerce et Industries

Les marchandises circulent, sont transformées, puis repartent vers Bordeaux, vers Toulouse, vers Pau…

Les industries du bouchon, ses dérivés, se sont mécanisées au moment de la révolution industrielle, ce qui a eu un impact sur l’économie et sa main-d’œuvre. Les industries métallurgiques et mécaniques les ont accompagnés. Le travail du bois a apporté un dynamisme complémentaire. L’exploitation de la forêt de pins voisine joue encore un rôle surtout commercial. La carrière de pierre a repris ses activités. Elle a écrit ses lettres de noblesse dans les bâtiments des alentours tels les ponts, les églises, l’exceptionnel tunnel ferroviaire. Son calcaire clair se marie fort bien avec l’architecture moderne.

Lavardac voit actuellement un personnel qualifié formé dans les lieux de formation voisins. Les emplois de la ville demandent et trouvent des compétences variées et sûres.
L’évolution du paysage montre bien la superbe et subtile mise en valeur de l’habitat urbain et rural ancien et actuel.

Vous pourrez en constater l’intérêt lorsque vous arriverez à Lavardac.

Quelle que soit la route qui va vous y mener, vous aimerez sa Baïse, sa lumière dans les coins de verdure, ses routes pittoresques, l’habileté de ses artisans, et apprécierez ses industries. Vous aimerez cette vallée si bien humanisée.

Vous emporterez une grande valise de souvenirs heureux de Lavardac, lorsque vous repartirez, si vous repartez… 100_0609

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QUAND LA BAÏSE DÉBORDE PDF Imprimer Envoyer

QUAND LA BAÏSE DÉBORDE

La civilisation a fait à peu près disparaître ou du moins bien atténué les famines, les épidémies, les pestes noires, les fièvres que l’on peut voir évoquer dans les annales du Moyen-Âge. Seul, le fléau des inondations nous est resté comme un legs du vieux passé. Selon un auteur, J. Serret, c’est Grégoire de Tours qui commence les récits dramatiques.

En octobre 580, notre pays fut accablé d’un tel déluge d’eau que la pluie ne cessa de tomber pendant 12 jours. Un tremblement de terre aggrava les dommages, des blocs se détachèrent des Pyrénées, écrasant hommes et bêtes. On ne parle d’inondations que quand elles jouent un rôle dans les événements historiques.

En 732, les restes de l’armée des Sarrazins battus à Poitiers par Charles Martel furent engloutis par les eaux au moment où ils voulaient passer, la Garonne vers le sud de l’Aquitaine. Au XII° siècle, Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre, duc d’Aquitaine, fait élever des digues. Les serfs qui travaillent à cette tâche dont exemptés de droits seigneuriaux. Louis XI et même Louis XIV prennent la même décision.

En 1212, Simon de Montfort vient de gagner la bataille de Muret contre les Cathares et leurs alliés. Les vaincus profitent du débordement des rivières pour lui échapper. Le record restera longtemps tenu par le mois d’octobre 1435. La Garonne monte à Agen, à 12,5 m, passant par-dessus les remparts.

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MOULIN DE LAVARDAC PDF Imprimer Envoyer

Le moulin de Lavardac du XIIIe siècle est installé sur la rive droite de la Baïse, en dehors de la bastide de Lavardac. Il est construit au débouché du pont. Le pont de Lavardac était, au Moyen-Âge, surmonté de trois tours qui servaient d’emblème aux armes de la ville. Ce dernier point a fait l’objet de questions sur l’origine du blason du lieu.

Le barrage de l’écluse est bâti après le confluent de la Gélise et de la Baïse, à Pont de Bordes. Le travail du blé mettait en activité 3 puis 5 paires de meules. Il permettait la fabrication de minot étuvé.

Les propriétaires successifs du moulin de Lavardac ont vu la propriété du domaine du moulin divisée de façon inégale : les plus puissants, les plus riches, les Albrets, ou l’État, possédait les 7 dixièmes. Les autres, soit individuellement ou à plusieurs, géraient les 3 dixièmes restants.

C’est à la Tour de Londres (manuscrit de Wofeneuttel) que se trouvent les documents parlant de la création du moulin.

En 1251, Amanieu V, sire d’Albret, possédait les 7/10e du moulin. Les 3/10e revenaient à Arnaldus Lupus, seigneur de Lavardac.

Le 1er mai 1278, Assaldine d’Albret, petite-fille d’Amanieus V, épouse Centulle III, comte d’Astarac. Elle lui apporte en dot, entre autres fiefs, les 3/10e du moulin de Lavardac.

Le 3 juin 1306, son fils, Bernard d’Astarac rétrocède à son oncle Amanieu VII les biens hérités de sa mère, dont les 7/10e du moulin.

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La Bibliothèque

Nouveaux Horaires de la bibliothèque

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Consultez notre Catalogue en ligne et site en cours
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Revue de Presse

Une nouvelle sculpture en centre-ville

À Lavardac, l’un des meilleurs collèges du Lot-et-Garonne

Dans les collèges, les élèves de 3 e passent actuellement les épreuves du «brevet blanc» en attendant le «vrai» brevet du mois de juin./Photo Archives

«L’Etudiant» vient de réaliser une enquête sur les résultats du Diplôme national du brevet. En Lot-et-Garonne c’est un collège public qui décroche la première place.

Ils étaient 761 000 collégiens en juin 2015, candidats aux épreuves du diplôme national du brevet ex-Brevet national des collèges et, en remontant le temps, baptisé longtemps BEPC (Brevet d’études du premier cycle). Alors que les résultats du bac sont analysés, décortiqués et regardés à la loupe, il n’existait pas, outre la seule ligne statistique des résultats par établissement, de palmarès fiable et donc de classement des meilleurs collèges de l’Hexagone. C’est pour répondre à ce manque que la revue «L’Étudiant» vient de publier le premier classement des collèges. «Avec un taux de réussite de 87 %, cet examen peut être perçu comme une formalité» explique «L’Étudiant», surtout si l’on ajoute une autre donnée statistique, «58,4 % des élèves ont même décroché une mention.» Et pourtant comme on pourra en juger pour le Lot-et-Garonne, selon les établissements, les disparités sont grandes. Pour établir ce palmarès (à retrouver sur le site Internet letudiant.fr), le magazine a élaboré une note sur 20 par établissement qui additionne le taux de réussite et le taux de mention.

La meilleure note pour Lavardac

Dans le classement établi par «L’Étudiant », 469 collèges obtiennent un taux de mention qui dépasse les 80 % : 392 sont privés et 77 publics. De meilleurs résultats qui s’expliquent en partie par le fait que, contrairement aux établissements publics, les collèges privés ne sont pas soumis à la sectorisation. Au collège, les élèves sont affectés en fonction des secteurs de recrutement des établissements. Et en Lot-et-Garonne, la meilleure note attribuée par la technique de classement de «L’Étudian » t est obtenue par un collège public, le collège La Plaine, de Lavardac, 16,6 avec un taux de réussite de 95 % et un taux de mentions de 71 %. Suivent dans le classement le collège Joseph-Kessel, de Monflanquin, ex æquo avec le collège de l’institution Sainte-Catherine, à Villeneuve-sur-Lot, 16,4. Si le collège de Monflanquin obtient un taux de réussite plus faible 93 contre 98, par contre le pourcentage de mention est plus élevé, 71 contre 66, ce qui explique que les notes soient identiques. C’est un autre collège public qui se classe en quatrième position, le collège Damira-Asperti, de Penned’Agenais.

Les notes par établissement

Agen : collège Sainte-Foy, 15,2 (97 % et 55 %) ; collège Félix-Aunac, 15,1 (87 % et 64 %) ; collège Jasmin, 13,9 (83 % et 56 %) ; collège Chaumié, 13,7 (80 % et 57 %) ; collège Dangla, 12,4 (74 % et 50 %) ; collège Ducos-du-Hauron, 12,1 (72 % et 49 %).

Villeneuve-sur-Lot : Collège Sainte-Catherine, 16,4 (98 % et 66 %) ; collège Crochepierre, 14 (85 % et 55 %) ; collège Anatole-France, 13,6 (80 % et 56 %) ; lycée des métiers de la vie rurale, 11,7 (79 % et 38 %).

Penne d’Agenais : collège Damira-Asperti, 15,6 (91 % et 65 %).

Fumel : collège Jean Monnet, 14,2 (82 % et 60 %).

Casseneuil : collège Saint-Pierre, 14,9 (90 % et 59 %) ; collège Gaston-Carrère, 10,4 (65 % et 39 %).

Sainte-Livrade : collège Paul-Froment, 14,4 (87 % et 87 %).

Nérac : Collège Henri-de-Navarre, 13,4 (80 % et 54 %).

Monflanquin : collège Joseph-Kessel, 16,4 (93 % et 71 %).

Castillonnès : collège Jean-Boucheron, 11,5 (68 % et 47 %).

Bon Encontre : collège La Rocal, 14 (84 % et 56 %).

Le Passage : collège Théophile-De-Viau, 13,8 (84 % et 54 %).

Port-Sainte-Marie : collège Delmas-de-Grammont, 12,9 (80 % et 49 %).

Aiguillon : collège Stendhal, 11,3 (72 % et 41 %).

Lavardac : collège de La Plaine, 16,6 (95 % et 71 %).

Monsempron-Libos : collège Kléber-Thoueilles, 14,7 (84 % et 63 %).

Mézin : collège Armand-Fallières, 13,4 (81 % et 53 %).

(N.D.L.R. : la note est élaborée à partir des taux de réussite (premier chiffre entre parenthèses) et des taux de mention (second chiffre entre parenthèses)). l

Les aînés autour de la table

Quelques-uns des 175 convives./Photo DDM, André Vergez

Quelque 175 Lavardacais âgés de plus 62 ans ont répondu à l’invitation de la municipalité, ce samedi 9 janvier. Accueillis par le maire Philippe Barrère et ses adjoints(e) s, ils étaient réunis autour d’une table bien garnie. «Dans les familles, on est attentif aux jeunes et aux aînés, le CCAS (Centre communal d’action sociale) et la municipalité, par cette invitation, tente de former une grande famille» indiquait le maire lors de la présentation des vœux. Un bal a prolongé cette journée festive où chaque dame a reçu une fleur tandis que les messieurs sont repartis avec une bouteille de vin. Un bon début d’année !

Club de l’amitié : déjà des projets pour 2016

Le Club de l'amitié compte 230 adhérents./Photo DDM, André Vergez.

Après sa dernière sortie-spectacle «Voyage autour du monde» à Cazaubon et dans l’attente de fêter les anniversaires du 4e trimestre, le Club de l’amitié de Lavardac «Générations Mouvement» s’est réuni dernièrement en assemblée générale en présence du maire Philippe Barrère et en l’absence excusée de Roger Saurin, président de «Générations Mouvement» du Lot-et-Garonne. Devant une assistance nombreuse, le président Jacques Nouzarède a présenté le bilan financier légèrement excédentaire, après avoir demandé d’observer une minute de silence en hommage aux membres du club disparus et aux personnes de Petit Palais (Gironde) et ses environs décédés récemment lors du tragique accident de car. Le nombre d’adhérents quant à lui reste stable à 230 personnes. Les sorties de l’année 2015 ont été nombreuses : ballet Voyages aux îles polynésiennes à Tonneins, 4 jours en Espagne, château de Monluc — Terres blanches dans le Gers, une semaine en Andalousie, «Journée de la forme et de l’amitié» à Villeréal, semaine en Cantabrie… A ces sorties qui se déroulent dans une très bonne ambiance et avec un réel plaisir de se retrouver, s’ajoutent les activités hebdomadaires : belote du lundi, petit loto du mardi, couture et gymnastique-entretien physique le jeudi.

Déjà quelques projets sont en préparation pour 2016 : 14 février, grand loto ; 19 au 25 février, carnaval de Nice, fête des Citrons, Menton, Ste-Maxime… ; 16 mars, repas et petit loto au club ; 26 mars, spectacle «La Légende du roi Arthur» au Zénith à Toulouse ; 11 avril, concert «Les Années Bonheur» à Boé ; 18 au 24 juin, voyage en Moselle ; 19 au 25 septembre, séjour à Peniscola en Espagne.

Après le renouvellement du tiers sortant, les participants se sont retrouvés à la salle des fêtes de Lavardac pour déguster un excellent repas.

Mairie de Lavardac